Considérations généalogiques
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Salon de généalogie Paris XVème
Ma dernière grande expédition pour me rendre à un événement généalogique datait de fin 2017 pour Gene@2017. Ce vendredi 6 mars 2020, c’était au tour du salon de généalogie Paris XVème, que j’ai visité pour la première fois.
La matinée a commencé par un café des généablogueurs, proposé par les organisateurs du salon. L’occasion de retrouver des généalogistes que je connais de longue date, et d’autres que je ne connaissais que virtuellement.
Nous avons ensuite rejoint les visiteurs venus en nombre rencontrer les exposants ou assister à des conférences. J’ai commencé par un long tour des exposants. Je suis passée rapidement sur les stands d’interlocuteurs que je connais pour être déjà « cliente », comme Hérédis, Geeanet ou Filae. Je peux également citer les bénévoles du Fil d’Ariane ou du Cercle Généalogique du Haut Berry.
J’ai discuté de mes recherches avec le cercle généalogique des cheminots à qui j’ai soumis le cas de l’oncle de Justin LEGER, Étienne PORCHER, qui fut cantonnier et garde-barrière avec sa femme Eugénie BALLIN dans la Somme (le récit ici). Rien dans leur base de données, mais je suis repartie avec la marche à suivre pour contacter les archives de la SNCF.
Le tour des stands fut également l’occasion d’acheter des livres pour les enfants (la BD est même dédicacée) et j’ai pu agrandir ma collection d’ouvrages d’Archives et culture.
J’ai terminé ma journée avec la conférence « Rechercher ses ancêtres aux Pays-Bas » de Rob van Drie du CBG. Je ne suis pas concernée directement, mais mon beau-frère et mon neveu, oui. Cette conférence était parfaite pour avoir des éléments de base pour les recherches dans ce pays.
A noter aussi qu’un annuaire incluant les associations y compris celles n’ayant pas pu venir nous a été remis, cela va beaucoup me servir !
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Écrire la vie de ses ancêtres : je me suis lancée !
Écrire l’histoire de sa famille, voilà une idée qui trotte dans la tête de bon nombre de généalogistes. Un bon indice : le livre d’Hélène Soula « Ecrire l’histoire de sa famille » était en rupture de stock en juin 2019 !
J’y avais déjà songé, et au bout de quelques tentatives j’avais rendu les armes, non pas faute de contenu, mais je n’arrivais pas à trouver un plan qui ne perde pas le lecteur, au risque de n’avoir qu’un catalogue d’ancêtres.
A l’occasion de l’anniversaire de ma maman (qui passait une dizaine), je me suis dis que j’aurai pu lui offrir un recueil des articles de mon blog concernant ses ancêtres. Et puis quitte à faire un recueil, autant écrire un petit quelque chose sur les autres … et de fil en aiguille d’écrire un livre sur cette branche. Et comme dès le début je n’ai pas souhaité l’exhaustivité, cela m’a enlevé un énorme poids des épaules.
Si cela peut aider certains d’entre vous, voici les étapes de mon écriture :
Pour le plan du livre, je suis partie sur ce qui n’est pas du tout recommandé, à savoir une liste exhaustive des ancêtres sur plusieurs générations. Mais c’est ce qui s’est imposé à moi, et sur quatre générations je trouve que ça reste assez compréhensible. A la fin de la troisième étapes, rien qu’avec les copier-coller des articles du blog, j’arrivais déjà une soixantaine de pages. Cela m’avait pris une demi-journée environ, mais la mise en page était plus qu’anarchique. J’ai donc repris la rédaction pour chacun des ancêtres (ou par couple plus précisément, j’ai trouvé ça plus simple à écrire), en homogénéisant les informations que j’avais à disposition. Mais pour certains, il a fallu tout rédiger !
En plus de mes ascendants directs, d’autres articles ont porté sur les collatéraux, les métiers, des repères historiques… avec une icône spécifique pour montrer qu’il s’agit d’une partie à part.
Pour les illustrations, j’ai inséré des extraits d’actes, photographies, cartes postales, cartes, arbres, etc…
Au final je suis arrivée à un livre de 126 pages. Pour vous donner une idée du coût, pour ce livre format A5, avec certaines pages en couleur, papier assez épais (satin 90g) j’ai dépensé 73,90 € (dont 9€ de frais de port) pour 10 exemplaires.
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C … coïncidence
Il peut arriver en généalogie des coïncidences tout à fait improbables. Je l’ai vécu une première fois, où en feuilletant un journal en ligne du département voisin (des milliers de pages tout de même), je tombe sur la mention du suicide d’un aïeul. J’ai vécu de nouveau une succession de coïncidences, mais cette fois-ci la fin est plus joyeuse !
Me voici donc plusieurs mois plus tôt, en train de chercher une illustration pour le challenge AZ. J’ouvre le site Delcampe, site sur lequel j’achète des cartes postales anciennes.
Je tape le nom de la commune de Vignoux-sous-les-Aix, mais alors que par habitude je ne sélectionne que les cartes postales, cette fois-ci j’affiche tous les documents. Au milieu des cartes postales je vois un livret de famille. Un patronyme connu… et surtout un prénom peu commun. Jean Baptiste Théophile. Bon sang ! C’est le livret de famille de l’ancêtre sur lequel je viens de rédiger un article !!! Et s’il ressort dans mes recherches, c’est que le vendeur a indiqué la commune d’origine de cet ancêtre dans le titre (car le mariage a eu lieu dans une commune voisine).
Et c’est ainsi qu’après avoir gagné l’enchère, nous avons récupéré ce livret de famille dont personne ne sait comment il a pu se retrouver dans une boutique, puis sur internet. Il est de retour dans la famille, et entre de bonnes mains !
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Citation des sources en généalogie : le mieux est-t-il l’ennemi du bien ?
La généalogie me sauve virtuellement d’une immobilisation forcée… J’ai entrepris de visionner des vidéos extraites du Rootstech 2018 (grand évènement généalogique qui se déroule à Salt Lake City). L’occasion de travailler mon anglais tout en prenant des notes pour ma généalogie.
Je vais évoquer aujourd’hui l’intervention de Diana Elder, généalogiste professionnelle : « Source citations : the good, the bad and the ugly ». La vidéo de 54 minutes est disponible (en anglais bien entendu) ici.
Le thème m’intéresse particulièrement car j’ai repris mon arbre « à la base » pour revérifier et citer toutes mes sources.
Quelques éléments de l’intervention
Le ton est donné dès le début de l’intervention : pour son « rapport » sur sa généalogie personnelle sur 4 générations, on trouve 277 citations de sources… D’où la question : comment les décrire ?
- La bonne citation de source : décrit clairement la source et où la trouver.
- La mauvaise : oublie d’indiquer les détails utiles.
- La « laide » : les informations sont utiles, mais la citation est longue voire déroutante.
L’objectif d’une bonne citation est d’aider au partage, pour soi-même de retrouver cette source ultérieurement et donner du « sérieux » à son travail (sa généalogie, ou l’écriture de son histoire familiale).
Pour décrire la source, les questions à se poser sont : qui l’a créée ? qu’est ce que cette source ? où se trouve-t-elle ? quelle est sa date ? Elle détaille ensuite sa manière de citer les sources qui est comment dire … très détaillée.
Comment l’appliquer à ma généalogie ?
Sur le principe je ne peux qu’être d’accord, car c’est ce que je fais dans le cadre de mon travail lorsque je cite une source bibliographique. C’est probablement ce que je ferais aussi si j’étais généalogiste professionnelle au moment de rendre un rapport.
Sauf que la généalogie reste pour moi un loisir, un plaisir … et devoir pour chaque évènement créer une nouvelle source très détaillée avec le numéro de la vue est le meilleure moyen de me dégoûter des recherches.
Dans mon organisation, si je prend l’exemple de l’état-civil ou des registres paroissiaux, une source = un registre. Je précise le lieu, les années concernées, la localisation des archives, s’il n’y a qu’un type d’actes (que des naissances par exemple) et la cote. J’estime qu’avec cette information, n’importe qui peut retrouver le document cité : avec la cote et la date de l’évènement cela ne doit prendre que quelques minutes. J’ai de plus une copie des actes sur mon ordinateur avec sauvegarde automatique sur un disque dur externe.
J’ai retrouvé ma source la plus utilisée : les registres paroissiaux de Sury-en-Vaux, de 1761 à 1784 utilisée 23 fois ! Si je souhaitais aller au bout du raisonnement, il aurait fallu pour chaque acte que je précise la vue, voire l’ordre de l’acte dans cette même vue. Définitivement trop fastidieux.
Si je prends l’exemple de la citation du recensement de 1872 de mon ancêtre Louis Désiré Auguste DEZAT et ses parents, cela ressemblerait à :
« 1872. Recensement, Sury-en-Vaux, canton de Sancerre, département du Cher, vue 24, village de Chambre, ménage n°12, individus 46 à 48 ; image digitale FILAE, accès le 27 janvier 2019 ; citant les archives numérisées des archives du Cher, cote 6M 0079. »
Je ne pense donc pas aller jusque là.
Cependant, le point où je dois vraisemblablement m’améliorer, c’est dans la rédaction des articles de ce blog. Il m’arrive de citer mes sources … mais pas toujours. Je vais donc essayer de faire mieux pour les prochaines fois (mais avec des citations « simplifiées »)
Sources : « Source citations : the good, the bad and the ugly », Diana Elder, Rootstech 2018, lien.
Recensement 1872 – Sury-en-Vaux ; hameau de Chambre.
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Une année se termine, une autre commence !
Une fois n’est pas coutume je suis assez satisfaite de mon année généalogique 2018. Elle aura été l’occasion de poursuivre la vérification et le complément des actes de mon arbre ; j’en suis actuellement à la 8ème génération (André RAIMBAULT, sosa 200/255). J’annonçais début 2018 que ma génération 7 était complète, j’espère pouvoir terminer ma génération 8 en 2019.
Le Challenge AZ m’a permis de réaliser des compléments de recherches dans les recensements de 1872. J’ai ainsi retrouvé quasiment tous mes ancêtres (sauf un couple), ce qui aura été l’occasion de faire de nouvelles découvertes sur ces aïeux que je pensais pourtant bien connaître (retrouvez le bilan ici).
Côté logiciels et sites de généalogie, on m’a offert la mise à jour de mon logiciel de généalogie, Hérédis, pour Noël 2017. La dernière mise à jour datait de 2014, beaucoup de nouveautés donc ; je n’ai pas pris pas la nouvelle version, j’attends la prochaine, voire celle d’après. Mes abonnements à Filae et Geneanet sont arrivés à expiration en fin d’année ; je vais les reconduire pour 2019.
Je vais éviter de me fixer sur des objectifs trop ambitieux pour 2019. Je poursuis donc mes recherches sur la 8ème génération, et je pars en quête des ancêtres de mon mari dans les recensements de 1872.
Bonne fin d’année et meilleurs vœux pour 2019 !
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Mises à jour suite au challenge AZ
Cela fait déjà bientôt deux semaines que le challenge AZ est terminé, mais j’y ai retravaillé avec quelques mises à jour.
- Tout d’abord je me suis rendue compte que je n’avais pas fait la liste de mes articles cette année, l’occasion de voir que celle de la dernière fois n’avais pas été terminée. C’est chose faite !
- Ensuite concernant mes ancêtres manquants dans les recensements, deux généalogistes m’ont apporté leur aide en commentaire : Murielle (@Girondegenea) et Frédéric (@Pontoif).
Comme me l’a justement fait remarquer Murielle, Étienne PINSON et Marie Louise GUINGUAND étaient présents sur la commune de Ménetou-Râtel lors de la naissance de leur fille Marie Louise PINSON en 1870. Un déménagement aurait tout à fait pu expliquer que je ne les retrouve pas à Sury-en-Vaux.
Mais finalement mes ancêtres étaient bien présents à Sury-en-Vaux au hameau de Chappe, avec leur fille Ermantine âgée de 2 ans (il doit y avoir un problème dans le prénom sur l’un des actes). C’est Frédéric qui m’a trouvé la bonne page du recensement.
Concernant mon deuxième couple, je sais qu’Alexandre DEZAT était témoin du décès de l’une de ses voisines à Chambre en 1870, il est décédé en 1876 dans ce hameau … mais pas de trace de lui ni de sa femme dans ce lieu en 1872.
- Ce challenge a donné lieu à un « chat » généalogique dans le cadre de l’association Geneatech. De ces échanges j’ai rédigé un petit compte-rendu à retrouver sur le site de l’association. N’hésitez pas à le lire et commenter !
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Mes envies généalogiques pour 2018
L’année 2017 se termine déjà, marquée par une petite pause dans l’alimentation de mon blog. Ce qui ne m’a pas empêché de poursuivre mes recherches. Voici mes envies pour l’année qui va bientôt commencer !
- Ça s’est passé en 1818 ou 1718
Une manière comme une autre de choisir des ancêtres sur lesquels faire des recherches complémentaires. J’ai recensé vingt évènements (naissances, mariages, décès) dont nous fêterons les 100 ou 200 ans en 2018. Ce sera l’occasion de faire revivre le blog à une fréquence définie par mes ancêtres et eux seuls !
- Le challenge AZ
J’ai déclaré forfait pour l’édition 2017 du challenge AZ, mais je compte bien participer l’an prochain ! Le challenge se tiendra en novembre, et j’ai une idée de fil rouge qui me semble tout à fait réalisable vu le temps disponible. Rendez-vous dans dix mois !
- Poursuivre mes recherches
Je vais tranquillement poursuivre les vérifications / sources de mon arbre. J’en suis arrivée à mon sosa 185, 8ème génération (j’ai d’ailleurs commencé à rédiger un article sur le « bilan » de ma 7ème génération). Lorsque j’aurai fini, deux solutions : soit je poursuis sur ma 9ème génération, soit j’entreprends le même travail pour les ancêtres de mon mari. Travail fastidieux, mais qui permet de trouver des informations tombées dans les oubliettes, voire de réparer quelques erreurs.
Par avance une bonne année à tous, et merci à mes lecteurs fidèles de continuer à me rendre visite malgré le rythme de publication un peu chaotique !
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Gene@2017
Rien de tel qu’un évènement généalogique pour se remettre en selle !
Le 2 décembre se tenait aux archives départementales des Yvelines le salon Géné@2017 avec pour thème : généalogie et innovations numériques. Au programme : ateliers, conférences et présence d’exposants bien connus dans le milieu de la généalogie.
Ma matinée a été plutôt studieuse, car j’ai animé deux ateliers avec des généalogistes bénévoles de l’association Geneatech. Le premier concernait la création d’un blog avec Thomas et le second l’utilisation des réseaux sociaux avec Céline ; le tout en lien bien entendu avec la généalogie. Notre association était bien représentée avec pas moins de 7 ateliers et la mobilisation de 12 bénévoles (si je sais bien compter).
Après le repas, j’ai pu faire le tour des exposants, que je connaissais déjà dans la grande majorité. Je suis en effet déjà utilisatrice de :
- Geneanet – site bien connu avec une base de données qui s’est bien étoffée et les arbres en ligne de nombreux généalogistes. Je viens de reprendre mon abonnement premium (50€/an).
- Heredis – mon logiciel de généalogie. La version que j’utilise est la 2014, et j’espère que le père Noël m’apportera la mise à jour vers la dernière version (2018 Pro – 45€).
- Filae – j’ai profité d’une vente privée pour tester Filae depuis la fin du mois d’octobre (29€ pour un an).
Il n’y avait donc pas besoin de me convaincre !
Et en guise de conclusion, rien que pour discuter avec d’autres généablogueurs, que je ne connaissais parfois que virtuellement, ça valait le coup de se lever tôt !
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J’ai testé les alertes par individus Généanet
En tant que membre prémium du site de généalogie Généanet, je reçois régulièrement un courriel intitulé « Généanet a trouvé pour vous de nouveaux ancêtres ! ». Je n’ai généralement pas le temps de le lire de manière approfondie et il se retrouve rapidement en bas de ma boîte de réception… J’ai donc pris un peu de temps pour lire le dernier reçu pendant les vacances, et en voici un bilan.
J’ai reçu 22 alertes qui au final ont donné :
- 2 fausses pistes pour lesquelles la localisation géographique et la période ne correspondent pas du tout ;
- 3 liens vers des actes déposés par des membres du site ;
- 4 individus pour lesquels les informations étaient de simples précisions sur les dates ou le prénom du père ;
- 13 individus pour lesquels les indices permettent de vraies avancées en me dirigeant vers les arbres des membres qui ont des branches communes avec le mien.
J’ai repris chacun des fragments d’arbre sur papier (le tout dématérialisé ne me plait pas trop), ce qui m’a pris je pense autour d’une heure et demi … avec à la clé pas moins de 87 potentiels nouveaux ancêtres !!! Potentiels car il me faudra tout vérifier avant de raccrocher ces branches à mon arbre. Une vraie aide donc, que ces alertes !
J’en ai 5 pages comme ça !
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Que retenir de 2015 ?
Si l’année 2015 n’a pas été l’année la plus « généalogique » me concernant, voici ce que j’en ai retenu :
- Quelle que soit la forme que l’on choisisse, le challenge A à Z prend du temps. J’y ai pris beaucoup de plaisir, mais aussi beaucoup de temps à le terminer. Pour 2016 ? J’ai une idée de thème, j’ai déjà participé 3 fois donc je sais le temps que ça prend et les retombées que cela peut avoir. Je me laisse encore un peu le temps de la réflexion.
- L’année passée fut aussi celle de mon atelier de généalogie à l’école. J’ai pris pas mal de temps à préparer les premières séances, ensuite les journées plus « créatives » ont été un peu plus simples à gérer. Je ne suis pas sûre d’avoir suscité un énorme engouement pour la généalogie, mais cela aura permis aux enfants de connaître un peu mieux leurs ancêtres. Pour 2016 ? Je n’aurai suffisamment de congés pour renouveler l’expérience…
- L’année 2015 fut dense en activités diverses et variées, et cela s’en est ressenti au niveau de mon activité généalogique : pas de visite / rencontre que ce soit au congrès de généalogie ou aux matins malins. La logistique des déplacements est très complexe lorsque l’on n’habite pas à Paris. De même peu de visites aux archives, quoique l’année 2015 n’est pas encore terminée et que j’ai une fenêtre de tir mercredi. Pour 2016 ? Je ne préfère plus prévoir quoi que ce soit de peur d’être déçue !
- Sur l’activité du blog, j’ai trouvé que mettre en place la feuille du blog m’aide à rédiger des articles, sinon il y en aurait encore moins ! Pour répondre à la question de Sophie, les généathèmes m’aident aussi à trouver des idées, bien que je ne les utilise pas systématiquement. Pour 2016 ? Ne pas faire moins !
Voilà ma participation au généathème « Je prépare mon année généalogique ». A vous de jouer !