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La feuille du blog [février 2016]
- L’activité du mois
Ce mois de février fut encore consacré au couple LEGER-PORCHER qui m’accompagnera un mois encore. Deux articles ont été publiés sur les recensements ici et là. Le troisième est en cours de finalisation : j’ai découvert tellement de choses à leur sujet que je me suis un peu dispersée ! Moi qui pensais que je n’apprendrais rien de nouveau…
- Lecture du mois
Une lecture qui occupe mes soirées un peu par hasard… Gallica a mis en ligne un annuaire de la presse locale numérisée. Ni une ni deux je suis allée regarder si un journal concerne mes ancêtres. Le Sancerrois n’est pas directement cité, mais Le Petit Charitois y consacre quelques articles pour les communes limitrophes du Cher.
Figurez-vous que j’ai peut-être découvert le décès d’un ancêtre, et s’il est avéré que c’est bien lui, c’est une triste fin …
Le Petit Charitois est en ligne sur le site des archives de la Nièvre., de 1888 à 1940. En-dehors des articles sur la vie locale, une grande partie du journal concerne des textes littéraires ou critiques de spectacles.
Le Petit Charitois – 2 Mi 344 – Archives de la Nièvre
- Pour le mois à venir
Le mois prochain verra la fin du défi sur mon couple avec l’utilisation de nouvelles sources d’archives. J’ai aussi promis une recherche aux archives à un blogueur expatrié que je n’oublie pas !
- L’activité du mois
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Le couple PORCHER-DION dans les recensements [Défi 3 mois]
Maintenant que mon couple LEGER-PORCHER, et leurs enfants, sont passés au crible des recensements, intéressons-nous à leurs parents, frères et sœurs. Mais par lesquels commencer ? Honneur à la mariée, partons à Subligny pour rencontrer ses parents Étienne PORCHER et Henriette DION.
Étienne et Henriette se sont mariés en 1848, nous les retrouvons en 1851 au Chezal Rousseau, commune de Subligny, chez les parents d’Étienne. Le chef de famille, Satur* PORCHER âgé de 67 ans est manœuvre tout comme sa femme Catherine âgée de 64 ans. Dans ce foyer vivent aussi Étienne alors âgé de 31 ans qui est tisserand, ainsi que sa sœur Marie de 7 ans son aînée. La famille s’est agrandie, car en plus d’Henriette alors âgée de 32 ans nous trouvons Marie Sidonie âgée de un an. Le recensement nous précise que tous mes ancêtres sont « catholiques romains ».
Cinq ans plus tard notre couple vit toujours avec Satur PORCHER, maintenant veuf et âgé de 74 ans ainsi que Marie âgée de 44 ans. Entre-temps la famille s’agrandit avec l’arrivée d’Étienne et Émile.
En 1861, nous retrouvons Satur une dernière fois mais sa fille Marie ne figure plus dans le recensement. Un dernier enfant, Louis, a rejoint la famille qui est maintenant au complet. Nous retrouverons ce noyau familial en 1872 et 1876, toujours au même endroit. Étienne est toujours noté tisserand, profession qu’exerceront ses fils par la suite.
La fin des tisserands ?
Quinze ans se sont écoulés depuis le dernier recensement et Henriette est décédée. Nous retrouvons Étienne qui vit chez son plus jeune fils, Louis, alors marié avec Louise BOITIER, originaire du village de Bannay, et leur fille Eugénie à Chezal Rousseau. Étienne rejoindra sa femme quelques années plus tard en quittant ce monde. En 1901 Émile exerce toujours la profession de tisserand, nous apportant une précision de taille : il est tisserand de chanvre (cette culture était assez présente dans le Sancerrois à cette époque). Mais c’est la dernière fois que cette profession sera mentionnée : en 1906 et 1911 il est désigné comme propriétaire cultivant.
Serait-ce la fin des tisserands ? Il semblerait bien. Le second fils d’Étienne et Henriette, Émile, est noté cultivateur ou journalier au Grand Vraignon, à Sainte Gemme. Il y vit avec Armantine BROUARD et leurs filles Marthe et Marie. Et pour le plus âgé des fils, Étienne … et bien impossible de le mettre la main dessus dans les recensements du Sancerrois !
Où est passé Étienne ?
Si vous vous souvenez bien, l’état civil nous avait appris qu’Étienne avait épousé Marie BALLIN originaire du Cardonnois dans la Somme. Une chose extraordinaire pour mes ancêtres particulièrement casaniers ! Et comme par hasard je ne trouve plus dans le Sancerrois… Je l’ai bien retrouvé … mais je ne vous en parlerais qu’en mars lorsque nous nous intéresserons aux sources autres que l’état civil et les recensements.
Le prochain article se penchera sur notre dernier couple, LEGER-GIRARD avec un évènement inattendu. Ne vous attendez quand même pas à des révélations croustillantes (petit message à mes lecteurs impatients).
* Satur est le nom d’un saint local.
Sources. Recensements de Subligny :1851, 27J0067 ; 1856, 27J 0086 ; 1861, 6M 0028 ; 1872, 6M0082 ; 1876, 6M 0097 ; 1891, 6M 0127 ; 1901, 6M 0156 ; 1906 6M 0186 ; 1911, 6M 0186. Recensements de Sainte-Gemme : 1891, 6M 0115 ; 1901, 6M 0144 ; 1906, 6M 0174 ; 1911, 6M 0205.
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La famille LEGER-PORCHER dans les recensements [Défi 3 mois]
Après avoir dépouillé les registres d’état-civil et appris beaucoup sur la famille LEGER-PORCHER, passons maintenant aux recensements.
- Un peu de méthode
Ces recherches me permettent de mettre en application quelques conseils prodigués par Sophie Boudarel dans la Revue Française de Généalogie et également sur son blog. J’ai adapté son exemple de tableau à ma sauce, et créé plusieurs onglets : un pour mon couple central puis un onglet par enfant (lorsqu’il a quitté ses parents). Cette présentation permet de voir rapidement les changements dans le noyau familial : départ des enfants, changement de profession etc …
Extrait du tableau des recensements du couple LEGER-PORCHER et leurs enfants
- Ce que les recensements m’ont appris
Nous rencontrons notre couple LEGER-PORCHER pour la première fois en 1876 au lieu-dit Annioux, à Sury-en-Vaux. Ils vivent alors chez les parents de Louis, ainsi que son frère Silvain, et avec leur fils Louis âgé de 10 mois.
Ils voleront ensuite de leurs propres ailes et occuperont leur logement à partir de 1891, au lieu-dit des Giraults. Louis LEGER est d’ailleurs absent lors du recensement, et sa femme est seule avec leurs neuf enfants (chose qui me semble impossible quand je vois comment gérer deux enfants seule le mercredi est compliqué !).
Ils vivront dans le même lieu-dit jusqu’en 1906, puis à Annioux en 1911. On pourrait penser qu’ils ont déménagé, mais j’ai une autre explication car ce changement de lieu-dit s’est observé plusieurs fois chez les parents de Louis : si l’on regarde une carte, ces deux lieux-dits se touchent et la frontière n’est peut-être pas clairement définie…
Comme souvent, la profession indiquée est variable, et dépend certainement de l’appréciation de l’agent recenseur. Ainsi Louis est sabotier, vigneron ou chef cultivateur selon les années. Aucune profession n’est indiquée pour Sidonie.
Un élément très important nous est indiqué dans les recensements : le prénom usuel. Cela me simplifiera la rédaction des articles à venir, en évitant de citer systématiquement les deux ou trois prénoms.
- Où sont passés les enfants ?
En-dehors de notre couple, nous en apprenons plus sur leurs enfants, notamment leurs déplacements.
Je découvre ainsi que Louis, leur fils aîné, vivra toujours avec ses parents ce qui m’a étonné alors qu’il s’est marié en 1908. Mais trois ans plus tard, il vit chez ses parents avec son fils Henri âgé de 2 ans, sans trace de sa femme. Les tables décennales me confirment ce que je pensais : Marie Louise GIRAULT, femme de Louis, est décédée le 17 décembre 1909, onze mois après la naissance de leur fils.
Justin, mon aïeul, vit à proximité de ses parents aux Giraults avec sa femme Adeline MOREUX. En 1911, ils ont deux filles, Marie et Yvonne ; et sa belle-mère Adrienne THOMAS originaire du village de Sainte-Gemme vit également chez eux.
Je localise deux autres filles du couple à Sury-en-Vaux : Rosalie vit avec Alphonse VATTAN, un vigneron, à Chappe. Aline vit aux Vignes avec Léon GUINGAND, tonnelier.
Par contre, aucune trace d’Arthémise sur la commune. Elle est pourtant décédée en 1981 à Sancerre, elle a donc probablement déménagé. Avant de dépouiller les communes alentours, je vais rechercher la fiche matricule de son mari pour trouver plus d’informations, mais ce sera dans un prochain article !
Localisation des protagonistes
Toutes ces informations m’ont permis d’appréhender la localisation du couple et leurs enfants, mais aussi de connaître leurs professions ainsi que la composition de leur foyer. Par rapport à la dernière fois, voici ce que je peux noter en plus dans leur arbre (en vert, les nouvelles informations).
Par la suite, nous partirons à la recherche d’informations sur les parents de Louis LEGER et Sidonie PORCHER, toujours dans les recensements.
Sources : Recensements de Sury-en-Vaux, 1876 6M 0096, 1891 6M 0124, 1901 6M 0153, 1906 6M 0183, 1911 6M 0214. Tables décennales de Sury-en-Vaux 1903-1912, 3E 7108. Archives du Cher
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La feuille du blog [janvier 2016]
- L’activité du mois
Ce mois de janvier fut bien rempli concernant ma généalogie ! J’ai tout d’abord publié en début d’année un article sur les indices généanet, qu’il faudrait que j’utilise plus souvent. Mais mes recherches furent surtout consacrées au couple LEGER – PORCHER qui va m’accompagner pendant 3 mois, période durant laquelle je vais triturer les archives pour en connaître le plus possible les concernant. Pour le mois de janvier trois articles les ont concerné : le premier pour situer cette famille dans mon arbre, le second axé sur les enfants du couple et le troisième sur leurs parents, frères et sœurs.
Ma déception du mois : je voulais tester l’application mobile sur androïd d’Heredis … mais elle ne fonctionne qu’avec la dernière version du logiciel et la mienne date de 2014…
- Lecture du mois
Si vous êtes en panne de lecture, je viens de rejoindre la communauté « Geneabloggers« , un site en anglais qui donne des idées d’articles et qui recense les blogs généalogiques. Il y en a actuellement 3 267 (majoritairement anglophones) dans la liste qui n’est toutefois pas exhaustive.
- Pour le mois à venir
En février je vais continuer mes recherches sur le couple LEGER – PORCHER, cette fois-ci en utilisant les recensements. J’ai déjà fait plusieurs découvertes !
Dans quelques jours va également commencer le plus grand salon de généalogie mondial : Rootstech à Salt Lake City. Si je n’ai pas prévu de m’y rendre, quelques sessions seront retransmises sur internet (en fonction du décalage horaire…) et les syllabi (sorte de résumé ou de plan des interventions) sont disponibles également. Un moyen de voyager en restant chez soi !
- L’activité du mois
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La famille de Louis Henri et Marie Sidonie [Défi 3 mois]
Après avoir découvert les enfants du couple Louis Henri LEGER et Marie Sidonie PORCHER, remontons d’une génération pour mieux connaître leurs parents, frères et sœurs. Comme pour le précédent article, je ne me base que sur les informations contenues dans les registres d’état civil.
- Du côté du marié
Louis Henri est le fils de Louis LEGER et Marie GIRARD, tous deux vignerons à Sury-en-Vaux. Il est l’aîné d’une fratrie de trois frères : 18 mois le séparent de Jean Joseph qui deviendra vigneron à son tour ; le troisième et dernier enfant est Silvain qui deviendra sabotier comme son frère aîné.
Parents, frères et sœurs de Louis Henri et Marie Sidonie – Les nouvelles informations sont en vert
- Du côté de la mariée
Nous changeons de commune pour retrouver Marie Sidonie, ce qui arrive peu souvent dans mon arbre : elle naît à Subligny d’Étienne PORCHER, qui exerce les professions de tisserand et cultivateur, et d’Henriette Constance DION elle-même née à Sens-Beaujeu, une autre commune du Sancerrois.
Tout comme son mari, Marie Sidonie est l’ainée de la fratrie qui compte trois autres frères : quatre enfants en l’espace de sept ans ! Étienne François est noté domestique lors de son mariage tandis que Jean Émile et Louis Eugène seront tisserands à leur tour. Fait étrange, aucun des conjoints de Marie Sidonie ou de ses frères n’est originaire de leur commune de naissance. Ses belles-sœurs viennent des communes de Sainte-Gemme, Bannay (un peu plus loin) ; mais la palme revient à Étienne François qui a épousé Marie Eugénie BALLIN originaire du Cardonnois dans la Somme. Du jamais vu jusqu’à présent chez mes ancêtres !
Communes d’origine des protagonistes – Le Cardonnois ne figure pas, cette ville se situe à un peu moins de 300 km à vol d’oiseau du Sancerrois
Après avoir appris à mieux connaître les membres de cette famille au travers des registres d’état-civil, je m’attaque en février aux recensements avec une grosse découverte à la clé. A suivre !
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Les enfants de Louis Henry et Marie Sidonie [Défi 3 mois]
Me voici donc en plein cœur des recherches sur la famille LEGER / PORCHER. Comme je l’ai indiqué précédemment, les seules informations dont je dispose sont issues des actes de naissance et mariage de Louis Henry LEGER, Marie Sidonie PORCHER et leur fils Émile Justin. Suffisant pour « remonter » dans mon arbre, mais trop peu pour appréhender leur vie.
Première étape dans mes recherches : trouver tous les enfants de Louis Henry LEGER et Marie Sidonie PORCHER. Et ceci ne fut pas une mince affaire, car j’ai découvert pas moins de 10 enfants nés entre 1876 et 1892 ! Justin eut donc 9 frères et sœurs, tous nés aux Giraults, dans le village de Sury-en-Vaux (18). Les mentions marginales m’ont donné pour partie les dates de décès, sauf pour Charles LEGER, le petit dernier de la fratrie pour lequel je n’ai pas d’indication sur son décès.
En vert : les nouvelles informations
Sur les dix enfants, trois n’atteindrons pas l’âge de se marier : Eugène Amédée décède à l’âge de 19 ans, on apprend sur l’acte qu’il exerce la profession de boucher. Pauline Joséphine Gabrielle et Paul Fernand décèdent à respectivement 15 et 7 ans.
Outre la date et le lieu de décès, une autre information est fournie par les mentions marginales : les dates, lieux de mariages et noms des conjoints. Avoir tant d’enfants, cela peut coûter cher ! J’ai ainsi trouvé … deux mariages groupés ! Le 25 janvier 1908 à Sury-en-Vaux, Louis Henri et Marie Sidonie marient leur fils Louis Constant à Marie Louise GIRAULT et leur fille Adèle Arthémise à Louis Alphonse Marie DEBIN. Deux ans plus tard, le 2 juillet 1910 à Sury-en-Vaux, ce sera au tour de Marie Rosalie d’épouser Alphonse Marie VATTAN et d’Eugénie Aline d’épouser Louis Léon GUINGAND.
Maintenant que ce travail est fait, il me reste des recherches similaires à faire … pour retrouver les frères et soeurs de Louis Henry LEGER et Marie Sidonie PORCHER. A suivre dans un article qui sera publié d’ici la fin janvier.
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Trois mois pour découvrir la famille LEGER – PORCHER
Ce billet est le premier d’une série qui va m’occuper les trois prochains mois, durant lesquels je vais axer mes recherches sur la famille LEGER-PORCHER.
Pourquoi me demanderiez-vous ? Le déclencheur est un nouveau défi généalogique « 3 mois pour ma généalogie », dont le principe est de se concentrer sur un individu de son arbre. En l’occurrence je commence déjà par prendre quelques libertés en choisissant une famille entière. Le choix de cette branche est presque dû au hasard, car je commençais des recherches sur le passé militaire des frères de Justin LEGER, grand-père de mon grand-père qu’il affectionnait particulièrement.
Les recherches nous mèneront dans l’état civil, les recensements, registres matricule…. Je vous donne rendez-vous avant la fin du mois pour vous présenter plus précisément ces ancêtres.
Voici le point de départ de ce nouveau défi généalogique !
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J’ai testé les alertes par individus Généanet
En tant que membre prémium du site de généalogie Généanet, je reçois régulièrement un courriel intitulé « Généanet a trouvé pour vous de nouveaux ancêtres ! ». Je n’ai généralement pas le temps de le lire de manière approfondie et il se retrouve rapidement en bas de ma boîte de réception… J’ai donc pris un peu de temps pour lire le dernier reçu pendant les vacances, et en voici un bilan.
J’ai reçu 22 alertes qui au final ont donné :
- 2 fausses pistes pour lesquelles la localisation géographique et la période ne correspondent pas du tout ;
- 3 liens vers des actes déposés par des membres du site ;
- 4 individus pour lesquels les informations étaient de simples précisions sur les dates ou le prénom du père ;
- 13 individus pour lesquels les indices permettent de vraies avancées en me dirigeant vers les arbres des membres qui ont des branches communes avec le mien.
J’ai repris chacun des fragments d’arbre sur papier (le tout dématérialisé ne me plait pas trop), ce qui m’a pris je pense autour d’une heure et demi … avec à la clé pas moins de 87 potentiels nouveaux ancêtres !!! Potentiels car il me faudra tout vérifier avant de raccrocher ces branches à mon arbre. Une vraie aide donc, que ces alertes !
J’en ai 5 pages comme ça !
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La feuille du blog [décembre 2015]
- L’activité du mois
Ce mois-ci, de nouveau un billet sur des poilus du Sancerrois, ceux de la commune de Menetou-Râtel cette fois-ci. Et fin d’année oblige, un petit bilan de mon année généalogique.
Mes quelques jours de congés ont été profitables pour l’avancée de mes recherches… mais il me reste encore l’indexation des poilus et un dépouillement commencé il y a trop longtemps pour le site Registre 18.
- Lecture du mois
Je vais vous proposer un article de blog pour cette dernière feuille de l’année. Il s’agit de l’article de Frédéric Pontoizeau sur les statistiques de ses poilus. Ses ancêtres mais pas seulement : 85 hommes au total ! Un article qui m’a fait prendre conscience que je ne me suis pas assez intéressée aux frères et sœurs de mes ancêtres, et qui m’a permis dans la foulée de faire une découverte étonnante sur un évènement qui s’est produit pile cent ans auparavant.
Blog De moi à la généalogie
- Pour le mois à venir
Je ne me lancerais pas une liste de bonnes résolutions pour 2016 afin de ne pas être déçue l’an prochain à la même époque. Au niveau des priorités, il faudrait vraiment que je termine le dépouillement pour Registres 18 et que je poursuive les vérifications de mon arbre. J’ai déjà deux articles en préparation, ce qui est de bonne augure pour l’année 2016 !
- L’activité du mois
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Que retenir de 2015 ?
Si l’année 2015 n’a pas été l’année la plus « généalogique » me concernant, voici ce que j’en ai retenu :
- Quelle que soit la forme que l’on choisisse, le challenge A à Z prend du temps. J’y ai pris beaucoup de plaisir, mais aussi beaucoup de temps à le terminer. Pour 2016 ? J’ai une idée de thème, j’ai déjà participé 3 fois donc je sais le temps que ça prend et les retombées que cela peut avoir. Je me laisse encore un peu le temps de la réflexion.
- L’année passée fut aussi celle de mon atelier de généalogie à l’école. J’ai pris pas mal de temps à préparer les premières séances, ensuite les journées plus « créatives » ont été un peu plus simples à gérer. Je ne suis pas sûre d’avoir suscité un énorme engouement pour la généalogie, mais cela aura permis aux enfants de connaître un peu mieux leurs ancêtres. Pour 2016 ? Je n’aurai suffisamment de congés pour renouveler l’expérience…
- L’année 2015 fut dense en activités diverses et variées, et cela s’en est ressenti au niveau de mon activité généalogique : pas de visite / rencontre que ce soit au congrès de généalogie ou aux matins malins. La logistique des déplacements est très complexe lorsque l’on n’habite pas à Paris. De même peu de visites aux archives, quoique l’année 2015 n’est pas encore terminée et que j’ai une fenêtre de tir mercredi. Pour 2016 ? Je ne préfère plus prévoir quoi que ce soit de peur d’être déçue !
- Sur l’activité du blog, j’ai trouvé que mettre en place la feuille du blog m’aide à rédiger des articles, sinon il y en aurait encore moins ! Pour répondre à la question de Sophie, les généathèmes m’aident aussi à trouver des idées, bien que je ne les utilise pas systématiquement. Pour 2016 ? Ne pas faire moins !
Voilà ma participation au généathème « Je prépare mon année généalogique ». A vous de jouer !