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Mon sosa 1000 résume mon arbre et me fait voyager en Luxembourg
Suite à un article de Maïwen, la blogosphère généalogique se prend de passion pour les sosa 1000. Pour ceux qui ne connaissent pas la numérotation sosa, je vous renvoie à la page généawiki. Je vous propose donc de découvrir aujourd’hui cet ancêtre qui a la particularité d’être mon millième sosa.
Il s’agit de Jean VATAN qui vécut à Sury-en-Vaux (18). Cet ancêtre résume à lui seul mon arbre car :
- le patronyme VATAN / VATTAN est le plus représenté
- Jean est le prénom masculin le plus donné
- Sury-en-Vaux est le lieu où le plus grand nombre de mes ancêtres ont vécu
Jean Jacques VATAN est né le 14 décembre 1713 à Sury-en-Vaux de François VATAN et Reyne SALMON. Il épouse le 9 juillet 1744 Marie COTTAT à Verdigny qui décède moins de quatre mois plus tard. Il épouse ensuite Anne MOREUX, toujours à Verdigny, le 8 février 1746. Leur union sera féconde : j’ai recensé 12 enfants. Au moins six d’entre eux ne survivront que quelques mois et quatre se sont mariés.
Quel métier pouvait-il exercer ? Les actes ne le disent pas. Peut-être était-il vigneron comme son fils François, mon aïeul. Car lorsque l’on redescend cette branche pour arriver jusqu’à moi, on y rencontre beaucoup de vignerons.
De Jean VATAN à moi – 269 ans nous séparent
Et le Luxembourg dans tout ça ? Faisons le chemin en sens inverse et remontons la branche de la mère de Jean VATAN, Reyne SALMON. Elle est fille de Jacques SALMON et de Barbe LUXEMBOURG. Dans son acte de mariage il est d’ailleurs indiqué « de LUXEMBOURG ». Malheureusement cet acte n’est pas filiatif ce qui m’empêche de remonter plus loin.
C’est sans compter sur l’hypothèse émise par des généanautes, et qui fonctionne bien sur le papier au moins :
- Barbe LUXEMBOURG est décédée le 22 mai 1699 à l’âge de 62 ans à Sury-en-Vaux. Par calcul, elle serait donc née en 1637.
- Un certain Antoine LUXAMBOURG est décédé à Sury-en-Vau en 1678, il est âgé de 71 ans.
- Dans le département voisin de la Nièvre est née une Barbe DESTELXEMBOURG le 16 avril 1637 à Billy-sur-Oisy. Son père serait Antoine DESTELXEMBOURG (visiblement maître vannier).
Remontons jusqu’au Luxembourg ! La branche hypothétique est en pointillés
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Reprendre son arbre – mes 5 avantages
Il y a un an je publiais un article intitulé : Reprendre son arbre – un peu de méthode. Après avoir détaillé la méthode (partie 1 et partie 2), je me propose aujourd’hui de faire un petit bilan et de souligner les 5 avantages que j’y ai trouvé. L’occasion de répondre à Élise, auteur du blog Auprès de nos racines, qui a présenté récemment un challenge généalogique consistant à reprendre son arbre de zéro : on efface tout et on recommence !
Petite précision : en l’occurrence, je n’ai pas tout effacé : j’ai imprimé des arbres de travail et je vérifie minutieusement chaque information de mes ancêtres.
- Confirmer et compléter les informations
Fort heureusement je n’ai pas décelé de grosse erreur pour le moment, mais reprendre mon arbre est l’occasion de bien revérifier les parentés de mon arbre. Cela m’a surtout servi pour compléter les informations : profession non indiquée, témoins, actes qui n’étaient pas encore disponibles…
- Avoir un fichier propre
L’un de mes défauts est parfois un excès de précision, ou tout du moins d’uniformité dans les informations. Au début de mes recherches, il m’est arrivé de noter toutes les variantes d’un nom, ce qui me hérisse les cheveux aujourd’hui. L’occasion de remettre tout cela en ordre !
- Mettre à jour ma liste de recherches à faire
Ce travail de fourmi me permet également de te tenir à jour un fichier avec les recherches à faire : actes introuvables, lieux, professions…
- S’intéresser aux collatéraux
La première source de collatéraux, ce sont les témoins / parrains marraines. C’est une donnée que j’ai souvent omise, alors qu’elle peut donner de nombreux enseignements et contextualiser la vie de nos ancêtres (semblaient-ils proches de leurs frères / sœurs, d’un voisin ?). Mais je n’ai pas pour le moment cherché systématiquement les enfants de tous mes couples d’ancêtres.
- Trouver des idées d’article !
Un avantage et non des moindres est de trouver des idées d’articles ! Professions intrigantes, frères ou sœurs à la vie étonnante … tout cela est un vrai vivier pour rédiger de nouveaux articles.
Concrètement, reprendre mon arbre ressemble à ça…
Quel est l’avis des autres généalogistes ?
Pour cedeca (des branches) qui l’a testé c’est un oui mais : plutôt que de repartir de zéro, nos arbres ont besoin d’être bichonnés. L’avis de Dominique (degrés de parenté) est plus tranché : pas question ! Une alternative intéressante proposée sur le blog feuilles d’ardoise : reprendre son arbre… à rebours ! Voilà qui devrait donner du grain à moudre à Élise.
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Louis Isidore ROY, non mort pour la France
Voici un article à la saveur particulière. En faisant récemment des recherches sur les frères de Marie Célestine ROY, mon arrière-arrière-grand-mère, j’ai étudié le parcours de Louis Isidore l’un d’entre eux, durant la première guerre mondiale. Une poignée de jours plus tard, le hasard a fait qu’uune tante passionnée d’histoire m’a demandé si je connaissais les circonstances de sa mort.
Louis Isidore ROY est né le 29 novembre 1873 à Verdigny (18), de Jean Louis ROY, vigneron et laboureur et Rosalie BLONDEAU. Ses parents sont âgés respectivement de quarante-deux et trente-huit ans. Deux vignerons sont témoins, et tout comme Jean Louis ROY qui est venu déclarer la naissance de son fils, ils ne savent signer [1]. Dans la maison de Chaudenay, en plus des parents, vivent déjà cinq enfants : Marie, Hortense, Célestin, Clémence et Eugène. En 1872 vivait également Pierre VATTAN, âgé de vingt-deux ans, un domestique que l’on ne rencontre plus par la suite.
En 1891, Louis vit toujours à Chaudenay avec ses parents, Clémence, Eugène, Marie née quelques temps après Louis, ainsi que la petite Marie COTTAT sa nièce. Célestin ROY et sa femme Marie RIFFAULT vivent également avec eux [2].
Vient l’heure du service militaire. Louis Isidore rejoint le 29ème régiment d’infanterie en novembre 1894. Il passe soldat de 1ère classe en juin 1896 puis est envoyé en disponibilité en septembre 1897. Le certificat de bonne conduite lui est accordé. Ce passage dans l’armée nous en apprend un peu plus sur son physique : cheveux et sourcils noirs, yeux châtains, front couvert, gros nez, bouche moyenne, menton rond et visage ovale. Il mesure 1,56 m. Nous apprenons qu’il sait lire, écrire et compter [3].
Louis Isidore épouse Marie Joséphine Hortense REVERDY du village voisin de Sury-en-Vaux le 31 juillet 1905. Ils emménagent ensemble à Chaudenay, mais dans une maison séparée des parents. En 1911, pas de trace d’un enfant dans le recensement. Ma tante m’a confirmé que ce couple n’en aura pas [1,2].
Carte Cassini du secteur de Verdigny / Sury-en-Vaux – Source Géoportail
Comme de nombreux hommes, Louis Isidore est rappelé à l’activité le 1er août 1914. Il est alors âgé de 40 ans. Il passera dans de nombreux régiments : 61ème RIT, 64ème RIT, 69ème RI puis le 100ème RIT. Nous apprenons qu’il est décédé antérieurement au 28 octobre 1916 au Camp des Maréchals près de Tracy le Mont (60). Dans la fiche matricule, bien qu’il soit indiqué « Mort la France » … Il fit partie de la liste des « Non Morts pour la France ».
C’est la fiche du Ministère de la défense portant la mention « Non Mort pour la France » qui apportera la réponse. En plus des informations déjà mentionnées dans la fiche matricule, il est précisé que Louis Isidore est décédé le 11 octobre 1916 à Tracy le Mont au camp des Maréchaux [4].
Suicide
Difficile d’imaginer ce que ces hommes ont vécu.
Son corps fut transféré et inhumé dans le cimetière de Verdigny le 25 avril 2021. Un mois plus tard le conseil municipal attribue gratuitement à sa veuve une concession à perpétuité dans le cimetière de la commune pour l’inhumation du corps de son mari « Mort pour la France » [5] . Son nom figure d’ailleurs sur le monument aux morts.
[1]. Acte de naissance de Louis Isidore ROY. Naissance, mariage, décès Verdigny 1873-1882. 3E 4788. Archives du Cher. [2]. Recensements de Verdigny, archives du Cher. Recensement de 1872, 6M 0079. Recensement de 1876, 6M 0096. Recensement de 1891, 6M 0124. recensement de 1901, 6M 0153. Recensement de 1906, 6M 0183. Recensement de 1911, 6M 0214. [3]. Fiche matricule n° 274. Bureau de Cosne, classe 1893. 1 R 219. Archives de la Nièvre. [4]. Fiche "Non Mort pour la France". Mémoire des hommes. Ministère de la défense. [5]. Les enfants de Verdigny au service de la France (1914-1918) - Patrice Bizet.
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Bilan généalogique 2014
En cette fin d’année, voici venu le temps des bilans. Voici quelques éléments parmi les plus marquants :
– Suite à la mise en ligne des archives du Cher, j’ai poursuivi la reprise de mon arbre pour compléter tout ce qui pouvait l’être : profession, témoins et surtout sources qui manquaient sérieusement aux évènements des mon arbre. Ma 8ème génération est en cours.
– J’ai à présent en ma possession toutes les fiches matricules de mes ancêtres et de ceux de mon mari. Elles me réservent encore de nombreuses heures de recherches.
– Le challenge A à Z, pour lequel j’ai écrit des articles durant le mois de juin. Si vous voulez savoir à quoi ressemble la vie d’un généalogiste amateur (qui a une vie de famille et un travail), vous pouvez lire les excellents articles de Marine et le témoignage de son mari.
– Des contacts avec des cousins … mais pas seulement ! Avec le centenaire 14-18, de nombreux internautes laissent des commentaires sur leurs aïeux qui faisaient partie des mêmes régiments, sont morts aux mêmes endroits.
Pour 2015, je vais me fixer des objectifs réalistes pour ne pas risquer d’être déçue : poursuivre mon travail pour étoffer mon arbre et renseigner les sources, rédiger au moins un article par mois et poursuivre l’indexation des poilus.
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Camille Jean Félix LINARD, parti tenter sa chance à Paris
Camille Jean Félix LINARD, né dans le Berry en 1891, a rejoint Paris tout comme sa sœur dans l’espoir d’y trouver une vie meilleure.
Il y parvient, devient employé de commerce et réside rue Vivienne. Il y rencontre probablement sa future femme, Louise PERROT. En octobre 1912 il retourne dans ses terres natales pour son service militaire au 26ème régiment de dragons, à Bourges. Il tombe gravement malade ce qui lui vaudra d’être réformé pour cause de péritonite tuberculeuse. Il retrouve Louise, ils se marient le 11 octobre 1913 mais il décède deux mois plus tard. Il avait 22 ans.
Camille Jean Félix LINARD était le frère de Louis François Joseph, mon arrière-arrière-grand père.
Ce billet est ma seconde participation au généathème d’octobre, le défi étant d’écrire la vie d’un ancêtre en cent mots. J’avais tenté l’exercice l’an dernier avec Jean BEAUNEZ, le voyageur aux cent mots.
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Fiches matricule de mes ancêtres : trouvées !
La bonne nouvelle est tombée ce lundi : les registres matricules de la Nièvre sont en ligne. Nos ancêtres du Cher étaient affectés au bureau de recrutement de Cosne sur Loire dans le département voisin de la Nièvre… Ce qui ne m’a pas facilité la tache ! J’ai trouvé une première partie des fiches de mes aïeux l’été dernier lors de la mise en ligne des fiches du Cher. Et à ce jour, j’ai entre mes mains (virtuellement tout du moins) toutes les fiches de mes ancêtres et ceux de mon mari ! Je ne me suis intéressée pour le moment qu’à nos ancêtres en ligne directe.
Le passé militaire de ces hommes fera sans nul doute l’objet d’articles plus détaillés sur ce blog. Voici les premiers éléments.
DEZAT Louis Désiré Auguste – sosa 16. Affecté à différents Régiments d’Infanterie Territoriale ainsi que dans la 23ème Section d’Infirmiers Militaires. Il fut détaché comme agriculteur de catégorie A en septembre 1917.
LÉGER Émile Justin – sosa 18. Affecté également à un Régiment d’Infanterie Territoriale, puis d’Infanterie Coloniale. Il est gravement blessé à la jambe le 4 décembre 1917 puis sera envoyé dans divers hôpitaux militaires.
BLONDEAU Léonard Alexandre – sosa 10. Affecté à différents Régiments d’Artillerie de Campagne où il est canonnier.
REVERDY Alphonse Ferdinand Étienne – sosa 22 . Il fut exempté de service militaire.
CHAMPAULT Henri Isidore Eugène – sosa 26. Affecté à différents Régiments d’Artillerie Lourde.
CHAMPION Pierre Francisque – sosa 28. En plus de la fiche matricule, j’ai une copie de son livret militaire. Affecté à divers Régiments d’Infanterie Territoriale. A l’issue de la guerre, il passa quelques semaines dans le 5ème Régiment de Génie où il fut détaché sur les voies ferrées à Bondy.
LINARD Louis François Joseph – sosa 30. Affecté au 4ème Régiment d’Infanterie, comme beaucoup d’hommes du Cher. Il est évacué une première fois pour blessure de guerre. Il repart aux armes et sera évacué pour maladie. Il rejoindra son corps et devient caporal en avril 1918.
Voici maintenant l’état des lieux du côté de mon mari :
GIRAUD Ernest René – sosa 8. Il fut exempté pour cause de bronchite chronique.
BLIN Joseph Alexandre – sosa 10. Affecté à dix-neuf ans alors que la guerre est déjà en cours. Il servira dans des bataillons de Chasseur à pied et de Chasseurs alpins.
AUGERAT Émile Auguste. sosa 12. Il est ajournée pour cause de faiblesse en 1915 et 1916. Il rejoint le 95ème Régiment d’Infanterie en 1917.
BONTEMPS Léon François – sosa 14. J’ai besoin de bien relire la fiche, mais il était visiblement atteint de grave problèmes de myopie … ce qui ne l’empêche pas d’être affecté à un régiment d’artillerie. Il passe ensuite dans un régiment de chasseur à cheval, dans un régiment de hussards puis dans un régiment de Dragons en 1919.
De quoi m’occuper durant mes longues soirées d’hiver. Et vous, avez-vous trouvé trace du passé militaire de vos ancêtres ?
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Une photo et des regrets … la suite
L’an dernier, à peu près à la même période, je publiais un article sur la photo de mariage de mes arrière-grands-parents. Mon grand-père m’avait à l’époque listé toutes les personnes présentes sur la photo. Je m’étais dit que je noterai tout ça plus tard, sauf que l’occasion ne s’est jamais représentée.
Je ne me souvenais de l’identité (parfois un peu partielle) de six personnes seulement présentes sur la photo… Et je rédigeais cet article, partagée entre découragement, amertume, plutôt énervée contre moi-même et ce bel exemple de « procrastination »…
Quelques temps plus tard, un cousin m’a remercié d’avoir mis en ligne la photo qu’il a pu récupérer, et m’a judicieusement fait remarquer que le frère et la sœur de mon grand-père sont toujours là pour répondre à mes questions.
Je me suis alors équipée d’un carnet, et à l’occasion d’un repas de famille je suis allée voir mon grand-oncle entre le fromage et le dessert, dernière personne à pouvoir mettre un nom sur ces visages. Et à part quelques uns, la mission est accomplie ! Nous n’étions pas peu fiers de nous, heureux de sauvegarder quelques temps encore la mémoire familiale.
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Faire vivre les blog
En ce mois de septembre, on parle organisation et création de blog dans la sphère généalogiste. J’ai traité précédemment ces deux thèmes ici pour l’organisation et là pour les motivations m’ayant poussé à créer ce blog.
Aujourd’hui je vais donc m’attarder sur cette préoccupation pour tout blogueur : comment faire vivre son site ? Car si un blog peut être créé en à peine une minute, le plus dur reste à venir : trouver des idées d’articles pour publier à un rythme régulier.
1. Des idées tu trouveras
Il n’y a pas un seul moyen pour trouver de l’inspiration. Parfois les idées se bousculent et d’autres fois c’est la panne sèche. L’inspiration peut venir de différentes manières :
- Lire, lire et lire ! En lisant un blog, un article, une publication, une idée ou un tout petit embryon d’idée peut germer. Il faut savoir se saisir de toute information ! Par exemple en lisant l’article d’Elise sur les « invisibles » j’ai voulu me lancer dans l’écriture de la vie de Louis BLONDEAU. Ou bien plus récemment lors de la sortie d’un livre sur le village de Sury-es-Bois, me lancer dans des recherches sur ce village et me pencher sur la vie de Pélagie BONTEMPS.
- Ne pas laisser ses recherches de côté … Il y a un juste milieu à trouver entre écriture et recherches, étape indispensable pour alimenter son site.
- Profiter des challenges qui sont proposés : challenge A à Z, généathème… Ou encore un challenge fou qui consiste à écrire la vie d’un ancêtre par semaine durant un an.
2. Les autres blogs tu suivras
J’ai choisi dans mon titre de faire vivre « les » blog, et pas seulement « mon » blog. J’apprécie de nombreux blogueurs, alors je tente de les remercier à ma façon via des commentaires, partages de lien… Et pour être sûre de ne rien louper, plusieurs solution :
- Certains généalogistes font une revue des articles de blogs récents sur différents supports ;
- J’utilise, Netvibes, un agrégateur de flux, qui me permet d’avoir en un seul endroit les derniers articles parus sur une sélection de blog.
Avec ça, fini le coup de la panne ! Harry Källström et John Davenport, sur Lancia Fulvia 1.6 Coupé.
3. Du temps tu trouveras…
C’est certainement ce qui me fait le plus défaut en ce moment… Car si vous avez bien lu, il faut dans le désordre : lire les blogs, articles, publications facebook, agrégateurs de flux, journaux, aller dans des exposition, reprendre ses recherches, noter ses idées avant de les oublier, trouver des images, participer aux challenges, chercher des mots inconnus dans le dictionnaire, répondre à ses commentaires, prendre sa plume, reprendre sa plume, chercher des mots-clé, faire un peu la promotion de ses articles…
Et pour ce dernier point, je n’ai pas trouvé de solution miracle…
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Billet de rentrée
Pour reprendre les bonnes habitudes de ces derniers mois, voici un petit billet de rentrée Je n’ose pas dire un bilan de l’été car d’un point de vue généalogique il ne s’est pas passé grand chose …
Début juillet, la mise en ligne des fiches matricules par les archives départementales du Cher m’a permis de trouver des informations sur quelques ancêtres :
- mon arrière grand père Léonard Alexandre BLONDEAU ;
- du côté de mon mari, René Ernest GIRAUD, Joseph Alexandre BLIN et Léon François BONTEMPS.
Pour mes autres ancêtres, il faudra attendre la mise en ligne des registres matricules de la Nièvre.
En dehors de cela, mes recherches généalogiques tournent au ralenti, n’ayant pas pu me rendre aux archives départementales cet été… mais d’autres initiatives avancent :
Tout d’abord, deux occupations en lien avec la guerre de 14/18 : le blog Sancerrois 14/18 pour rendre hommage aux poilus morts pour la France, ainsi que le projet « Poilus du Cher » qui recense les morts pour la France par commune – projet dans lequel s’impliquent d’autres généalogistes Benoît Petit, François Frémeau ainsi que Grégory Rhit.
Autre projet qui risque de me prendre du temps s’il est accepté, un atelier généalogique pour les enfants de l’école de mon village. Avec la mise en place de la réforme des rythmes scolaires, la municipalité est désespérément (je pense que le mot n’est pas trop fort) à la recherche d’animateurs ou de bénévoles pour assurer les activités périscolaires. Comme d’autres généalogistes, je propose donc mes service pour leur faire découvrir la généalogie.
Dans les mois à venir, je ne vais clairement pas pouvoir me disperser. Je vais donc me consacrer aux projets cités précédemment, poursuivre la reprise de mon arbre généalogique (vérifier les informations, renseigner sources et témoins) et la participation au généathème autant que possible.
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Devinette anciens métiers du transport à cheval
Pour le dernier jour de l’exposition « Fouette, cocher » à l’Écomusée de Rennes, je vous propose cette petite devinette portant sur les anciens métiers liés au transport à cheval :
Quelle est la différence entre un charretier, un postillon, un meneur et un cocher ?
Le charretier marche à côté des animaux qu’il conduit.
Le postillon mène une voiture en montant l’un des chevaux.
Le cocher mène une voiture, assis depuis siège.
C’est quasiment la même chose pour le meneur, qui est propriétaire du véhicule.
Le diable amoureux – 1845 – L. Ganivet – Paris