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Les fléaux atmosphériques – Jean-Claude Bonnet [Livre]
Attention petite pépite pour qui a des ancêtres dans le Haut Berry !
En fouillant chez mes parents, j’ai trouvé ce livre offert par mon grand-père : « Les fléaux atmosphériques en Sancerrois, en Charitois et Haut Berry ». Ceci correspond parfaitement la zone de vie de mes ancêtres.
Cet ouvrage traite d’événements « exceptionnels » qui se sont produits, en s’appuyant sur les registres, journaux, mémoires et autres livres anciens. Ces événements sont restitués chronologiquement pour chaque catégorie.
Grands froids et rudes hivers ; crues et inondations ; sécheresses, canicules et pluies persistantes ; grand vents, tempêtes, ouragans, orages et grêles ; disettes et famines ; la peste en Berry ; incendies mémorables et ravageurs…
Bref, de quoi mieux comprendre ce qu’ont vécu mes ancêtres, voire formuler des hypothèses lorsque de nombreuses morts sont survenues. J’ai entrepris de construire une frise chronologique « locale » reprenant ces informations et qui serait simple à utiliser.
Les fléaux atmosphériques en Sancerrois, en Charitois et en Haut Berry. Jean-Claude Bonnet. 2009. 142 pages.
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Le document du mois – Sury-en-Vaux, toilette berrichonne
En février, les généanautes sont invités à présenter leur document coup de cœur. Après avoir hésité entre divers documents tirés des archives, j’ai finalement décidé de vous présenter cette reproduction de carte postale.
Mais me diriez-vous, pourquoi choisir une simple carte postale ?
Parce que j’ai vu cette carte reproduite en grand format toute mon enfance, accrochée chez mon grand-père. Certainement un hommage au village de Sury-en-Vaux quitté par mon grand-père, alors qu’une longue lignée de DEZAT y a vécu.
Que voit-on sur cette carte postale ? Au premier plan, nous avons des habitants du village en habits du dimanche. Je serai même tentée de dire, en habits folkloriques, comme le suggère le titre de la carte : « Toilette Berrichonne ». La vue est prise depuis la route de Ménetou-Râtel qui nous montre en arrière-plan l’église Saint-Etienne. Celle-ci date du XIIIe siècle, mais a été fortement remaniée au XIXe siècle. La carte date du début du XXe.
Regardez bien au premier étage de l’église, ne voyez-vous rien ? Une statue de taille humaine est postée et regarde au loin. Maintenant une question : de qui s’agit-il ?
Si vous lisez l’article avec attention depuis le début, vous seriez tenté de dire Saint-Etienne, comme le nom de l’église. Et bien non, c’est une statue de Saint-Vincent, patron des vignerons.
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MOOC Première guerre mondiale : premières impressions
J’avais prévu de vous parler un peu plus tôt de ce cours en ligne, mais nous sommes rentrés dans le vif du sujet il y a une semaine seulement. Voici donc mes premières impressions :
Un vrai melting-pot. En parcourant les discussions sur le forum, je me suis rendue compte de la diversité des participants. On y vient souvent pour deux raisons : la passion et l’envie de comprendre de l’Histoire ou bien la volonté de faire le lien avec l’histoire familiale. Grand écart également au niveau de l’activité des participants : cela va du lycéen au prof retraité, en passant par le vétérinaire ou le militaire. Bref, une vraie diversité.
Ensuite l’organisation des séquences est particulièrement bien pensée. Les cours se sont mis en place doucement, peut-être un peu trop doucement pour certains, la « pré-rentrée » ayant duré près de dix jours. A présent les séquences s’organisent de la manière suivante :
- L’intervention est découpée en plusieurs vidéos assez courtes portant sur la thématique de la semaine. L’intervenant se base sur de nombreux documents : cartes, extraits de journaux, cartes postales… Ces documents sont ensuite en libre accès.
- On passe ensuite aux exercices : tout d’abord un QCM portant directement sur le contenu du cours. Ensuite des questions sur un document. Et enfin, une analyse de documents se basant là encore sur les archives.
La séquence de la semaine précédente portait sur l’entrée en guerre et la mobilisation. Elle insistait sur la réalité géopolitique de l’avant-guerre et la manière dont le discours de l’entrée en guerre s’est construit, et déformé, en même temps que la guerre.
La séquence mise en ligne hier porte la mondialisation du conflit.
Pour le moment je trouve le contenu de qualité et le rythme de travail me convient bien : je n’aurai pas pu y consacrer plus de temps.
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[Bilan ancêtres] 7ème génération
Je viens de franchir une étape dans la vérification des informations relatives à mes ancêtres : la 7ème génération est terminée ! L’occasion de faire un petit bilan :
Je débute par le nombre d’ancêtres trouvés, comme l’ont fait certains généalogistes récemment. D’un côté le nombre d’ancêtres théoriques, et de l’autre le nombre d’ancêtres trouvés. Comme cela ne me convient pas complètement, j’ai également créé une colonne avec le nombre d’ancêtres potentiels (là, je joue sur les mots). La différence ? Je tiens ici compte des pères inconnus et autres implexes. Ainsi donc, si j’ai bien 64 individus théoriques à la septième génération, je n’en ai que 59 potentiels (l’explication va suivre). A la huitième génération, la différence entre individus théoriques et potentiels sera donc d’au moins dix individus. Point très positif : j’ai trouvé 100% des ancêtres potentiels à ce niveau !
A la 7ème génération, je trouve mon premier couple implexe : Jean Louis BLONDEAU et Thérèse NEVEU sont les parents de Louis, Marie et Rosalie BLONDEAU présents tous les trois dans l’ascendance de ma grand-mère maternelle !
Je trouve aussi mon premier père inconnu qui aurait du être mon Sosa 110, père de Valérie GODON.
Concernant la localisation, j’ai représenté les lieux de mes actes avec une couleur pour mes quatre branches, une branche correspondant à l’un de mes grand-parents.
Pour vous représenter l’échelle, ces points tiennent dans un carré faisant de 50 à 60 km de côté : quand je vous disais que mes ancêtres ne bougeaient pas beaucoup !
Ma branche DEZAT (vert foncé) et BLONDEAU (vert clair) se superposent presque et sont centrées autour de Sury-en-Vaux et Verdigny, dans le Sancerrois. Du côté de ma mère, mes ancêtres ont un peu plus voyagé : ma branche GUENEAU (violet) s’étend plutôt à l’ouest dans ce que l’on appelle le Pays Fort. Les deux points les plus au Nord correspondent à la naissance de deux ancêtres … nés de père inconnu, mais dont les mères sont bien originaires du berceau familial plus au Sud. Enfin, ma branche CHAMPION (rose clair) s’étend au Sud et à l’Est, pour partie dans le Sancerrois et dans le val de Loire. Avec cette branche nous commençons à gravir le piton de Sancerre …
Mais ces deux braches se retrouvent également … à Sury-en-Vaux ! Décidément, ce village est bien le berceau de ma famille.
C’est à cette génération qu’il se passe un grand évènement : je franchis les frontières du Cher pour la première fois et trouve un acte dans le Loiret. C’est la branche GUENEAU qui gagne cette fois-ci, mais il m’est avis qu’à la huitième génération la branche CHAMPION va se venger …
Enfin, je vais faire rigoler les généalogistes qui ont de vrais ancêtres voyageurs en vous montrant la répartition de mes ancêtres à l’échelle de la France !
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Reprendre son arbre – un peu de méthode 2/2
Dans le précédent article, j’ai décrit ma méthode pour reprendre mon arbre et compléter des informations manquées. Aujourd’hui, travaux pratiques avec l’exemple de Marie GIRARD ma Sosa n°73.
1. Acte de naissance
Je retrouve son acte de naissance du 6 septembre 1822. Je le télécharge, le renomme « GIRARD Marie N 1822 » et le range dans le dossier « GIRARD Marie 73 ».
Dans L’onglet « Source » du logiciel Heredis je commence par choisir la source concernée. Et hop, ma petite barre verte apparaît !
Je vérifie maintenant le contenu de l’acte. Marie GIRARD est fille de Pierre GIRARD vigneron et Anne PRIEUR. Toutes ces informations étaient déjà saisies. Le père a 34 ans (après vérification sur la ligne de vie, il en aurait 32) et habite au village des Vignes. Voilà une information que j’avais loupé !!! Voici l’erreur réparée. Passons maintenant aux témoins. Pierre GIRARD déclare la naissance de sa fille. Le premier témoin est Jean GIRARD âgé de 29 ans, laboureur à Perrière, commune de Crézancy. Il serait l’oncle de Marie que cela ne m’étonnerait pas. Après vérification, Jean GIRARD est bien le frère de Pierre, né le 8 novembre 1792 à Crézancy. Je vais donc d’abord le créer puis l’ajouter comme témoin. Le second témoin est Ursin Prieur, âgé de 24 ans vigneron au village des Vignes à Sury-en-Vaux. Cette fois cela doit certainement s’agir de l’oncle maternel. Je fais de même, confirmation que c’est bien son oncle, création puis sélection comme témoin. Et voilà mon onglet témoin complété !
Dernière information, son père ne signe pas. J’enregistre cette dernière information et je sélectionne ensuite : « ne pas rechercher » Tadah ! La « barre » de l’acte de naissance est au maximum.
2. Acte de mariage
Je poursuis mes recherches avec l’acte de mariage en date su 3 juillet 1849. Celui-ci sera rangé dans le dossier de son mari « LEGER Louis 72 ». Je sélectionne la source.
Les informations sur les mariés sont déjà enregistrées. Je poursuis avec le paragraphe des pièces fournies. On donne les dates des actes de naissance des mariés et l’acte de décès du père du marié dont j’ai également une trace. Passons maintenant aux témoins ; je vais pouvoir ajouter de nouveaux collatéraux : Léonard LEGER oncle paternel et Joseph DELAPORTE, oncle maternel du futur, Barthelemy MAUDRY marié à tante de Marie, Françoise PRIEUR. Ursin PRIEUR est cité de nouveau. Il me reste à créer tout ce petit monde.
De nouveau personne ne signe.
3. Acte de décès
Je n’avais pas trouvé d’acte de décès. J’ai donc entrepris de revérifier cette information, et en effet pas de trace dans les archives de Sury-en-Vaux. Une recherche sur Geneanet, et je découvre sur l’arbre de Pascal LEGER que Marie LEGER serait peut-être décédée à Sury-en-Vaux le 23 mai 1907. A vérifier.
BILAN
Ainsi donc avec ma collectionnite d’ancêtres compulsive …
- Les sources de mes actes n’étaient pas notées, y compris sur Geneanet ce qui n’est pas très sérieux ni sympathique pour mes visiteurs.
- Je suis passée à côté du lieu où est née Marie GIRARD
- J’ai redécouvert que ses aïeux ne savaient pas signer et enregistré par moins de six collatéraux !
- J’ai une piste sérieuse pour la date de son décès.
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Reprendre son arbre – un peu de méthode (1/2)
Je l’avoue, comme tout généalogiste débutant, j’ai été prise de collectionnite-d’ancêtres- compulsive. Le symptôme de cette maladie est l’envie irrésistible de grimper dans son arbre… au risque de négliger de noter ses sources, les témoins ou autres informations qui ne semblent pas si importantes sur le coup.
Maintenant guérie, je m’en mords les doigts avec la désagréable impression d’avoir bâclé mes recherches. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Le passage à la nouvelle version d’Heredis a été le déclencheur pour reprendre ma généalogie à la base. Voici comment je procède lorsque j’ai un peu de temps…
1. Impression des arbres de travail
Pour pouvoir griffonner et cocher les actes que j’ai vérifié, j’ai commencé par imprimer les arbres ascendants de mes grands parents sur cinq générations. Je travaille donc déjà jusqu’à ma septième génération, en avançant par n° de Sosa croissant.
2. Recherche des actes et saisie des éléments dans le logiciel
J’ai ensuite entrepris de retrouver tous les actes possibles sur les sites des archives en ligne et de les télécharger. Je revérifie une nouvelle fois les parents indiqués sur les actes de mariage (on ne sait jamais) et je complète les fiches de mes aïeux si des données n’avaient pas été enregistrées. Visuellement, les petits graphiques en bas des fiches de mes ancêtres grandissent lorsque les informations sont correctement enregistrées. Les principales informations qui me manquent sont généralement :
- La source du document
- Les témoins / déclarants des actes
- Le fait que ces témoins / parents sachent ou non signer
- Quelques informations à côté desquelles je suis passée comme une profession différente … ou bien des indications sur les actes que je détaillerai dans de prochains articles.
3. Ranger les actes !!!
J’avais déjà un dossier Généalogie>Actes avec à l’intérieur des actes plus ou moins bien rangés. Je l’ai renommé « Actes & ancêtres » puis créé un dossier par individu sous la forme : « NOM Prénom n° SOSA ». Cela me semble plus pratique que ma précédente organisation par n° de SOSA. Ce numéro m’est tout de même utile en cas d’homonymie.
Je range dans le dossier tout ce qui concerne mon ancêtre : photo, actes, contrat de mariage, recensement… Par convention je range le mariage d’un couple d’ancêtres dans le dossier du mari, sauf pour le cas d’un second mariage qui est alors rangé dans le dossier de l’époux ou épouse concerné. Pour les « collatéraux », c’est plus compliqué et je ne les ai pas encore classés avant d’avoir trouvé une organisation qui me satisfasse…
Dans le dossier de François DEZAT, son acte de décès, l’acte de mariage et le dossier avec les vues du contrat
Dans mon prochain article je vais vous proposer presque en direct un pas à pas avec l’une de mes aïeule.
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Fouette, cocher ! [Exposition]
L’écomusée du pays de Rennes nous de propose de nouveau une très belle exposition , cette fois axée sur les transports à Rennes au temps du cheval. Je vous parle d’un temps où il fallait quatre jours pour relier Paris contre 2h en TGV et bientôt moins ! Les voitures se généralisent au XIXe siècle, le réseau routier se densifie, c’est l’essor du chemin de fer : bref les transports sont en mutation. A Rennes en 1821 de nombreuses modifications s’opèrent : on y crée des trottoirs, on pose des pavés en granit. Ensuite la canalisation de la Vilaine s’accompagne de la création de quais. Toutes les conditions sont réunies pour faciliter la mobilité.
Vue sur les quais – Archives de Rennes – Cote 100FI28
Une bonne place est réservée aux métiers en lien avec le cheval et les transports : bourrelier, charron, maréchal-ferrand, conducteurs en tous genre. Je les détaillerai dans de prochains articles au gré des démonstrations qui sont proposées tout ce premier trimestre.
D’anciennes voitures et engins roulants en tout genre sont exposés. On croirait vraiment avoir voyagé dans le temps, au son des sabots, calèches et bruits de la rue dans un décor XIXème siècle.
Bien entendu, l’exposition s’appuie sur de nombreux documents en provenance des archives (départementales, municipales). Tout un programme d’animation est prévu : des démonstrations de métiers anciens à des conférences…. dont une sur les voyages libertins au XVIIIe et XIXe siècle.
Une exposition à voir jusqu’au 31 août 2014.
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Un arbre sans épine ?
Ce que les généalogistes redoutent par-dessus tout : tomber sur une épine généalogique. Un cul de sac, un acte introuvable, bref un grain de sable qui empêche plus ou moins la progression dans son arbre. Et c’est précisément le généathème de janvier.
Oui mais voilà, mon arbre est presque tout lisse !
- Pas d’enfant abandonné jusqu’à présent.
- La présence d’enfants naturels ne m’a pas empêché de trouver les ascendants de leur mère (comme dans le cas de Valérie GODON).
- J’ai bien eut quelques épines, mais dont j’ai trouvé la réponse : comme le mystère du décès de Louis BLONDEAU ou l’acte de mariage de Thomas MERLIN.
Il est possible d’aider les autres généalogistes en ce mois de janvier, une première liste se trouve ici.
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J-10 : le MOOC Première Guerre Mondiale expliquée au travers des archives
J’ai découvert un peu par hasard ce que sont les MOOC. Mooc signifie « Massive Open Online Course », cours en ligne massifs et ouverts en français. Ce sont des formations en ligne qui se déroulent sur une période de quelques semaines. FUN, France Université Numérique, est une plate-forme créée par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche pour proposer des MOOC en français.
Le site est ouvert depuis octobre 2013, certaines sessions auraient être utiles pour mon activité professionnelle, mais non j’ai flashé sur celle-ci :
« La Première Guerre Mondiale expliquée à travers ses archives »
FUN-MOOC : la première guerre mondiale… par fr-universite-numeriqueCe cours est proposé par l’université Paris Ouest Nanterre la Défense. Le rythme est de douze séances réparties sur douze semaines. Les informations sur ce cours sont disponibles ici.
Le programme est alléchant : les belligérants et leurs colonies, l’industrialisation de la guerre, la vie à l’arrière, la propagande, représenter la guerre, passer à la paix… Ce ne sont que des extraits d’un contenu qui me semble vraiment riche.
J’ai cru retomber quelques années en arrière lorsque j’ai reçu un mail me rappelant mon inscription ainsi que la date de la rentrée fixée au 16 janvier 2014. Mon état d’esprit du moment :
Ce qui me motive :
- Le thème du cours et le programme qui promettent d’être passionnants !
- Je pense que cela va m’aider dans mes travaux généalogiques, pour appréhender cette période mais aussi peut-être tester de nouvelles méthodes de travail.
- Des questions matérielles toutes bêtes : c’est gratuit et on s’organise comme on veut (ou comme on peut).
Mes craintes :
- Le temps nécessaire : j’ai mon premier métier qui est prenant, mon second métier de maman et en plus je vais endosser une casquette d’étudiante ?
- L’évaluation finale par QCM me semble un peu déstabilisante. De plus j’ai cru voir qu’aucun certificat ne viendrait attester la participation à ce cours… Dans ce cas, comment le valoriser sur son CV ?
Bien entendu d’autres généablogueurs sont inscrits, en voici la liste non exhaustive : Brigitte, Céline, Véronique, Élise, Gen&O, Véro
Alors rendez-vous le 16 pour la rentrée !
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Vacances de Noël généalogiques
J’ai réussi à trouver un peu de temps durant ces vacances pour avancer sur quelques points de ma généalogie (et autres).
– Je suis retournée aux archives du Cher pour peu de temps malheureusement. J’ai malgré tout pu avoir un cours particulier sur le fonctionnement des archives notariales et découvrir mes deux premiers contrats de mariage.
– J’ai poursuivi l’écriture de quelques articles, dont mon bilan, la finalisation des articles portant sur Marie Joséphine BEUCHON. A cette occasion, j’ai pu observer que les articles peuvent se diviser et en donner de nouveaux : à partir du premier article commencé au mois de mai (tout de même !), j’en ai écrit un second sur les enfants car le premier devenait bien trop indigeste. Et un troisième est en préparation ! J’ai enfin planifié mes publications sur le premier semestre et noté toutes mes idées. Pour le Challenge A à Z de juin prochain, il n’y a plus que les lettres Y et Z pour lesquelles je n’ai pas l’ombre d’une étincelle.
– J’ai continué l’indexation des poilus sur le site mémoire des hommes. La commune de Sury-en-Vaux est terminée !
– J’ai discuté avec mon grand-oncle, et ça ce n’est pas rien ! J’avais mis par écrit ma déception de ne pas avoir pris de notes lorsque mon grand-père avait identifié les personnes présentes sur la photo de mariage de mes arrière-grand-parents. Voici qui est presque réparé ! Sur les 39 personnes présentes à ce mariage, il ne subsiste plus que quatre points d’interrogation. En-dehors de cette photo j’ai appris quelques informations sur mon arrière-arrière-grand père et je sais maintenant que des photos militaires sont conservées chez lui !