• Considérations généalogiques,  Mes ancêtres

    Contrats de mariage : mon prochain gros chantier

    Je n’ai pour le moment utilisé que les actes d’État Civil pour avancer dans ma généalogie. J’ai assez peu exploité la carrière militaire de mes ancêtres (c’est prévu), ni les actes notariés.

     

    Depuis quelques temps, il me démange d’aller regarder ce qui se passe du côté des contrats de mariage en espérant en tirer quelques enseignements sur mes ancêtres. L’éloignement géographique avec le berceau de mes ancêtres ne m’aide pas !

     

    J’ai néanmoins commencé à y travailler :

     

    • J’ai recensé entre 1850 et 1900 les contrats de mariage qui ont été rédigés. Pour cela j’ai tout simplement repris les actes de mariage de mes couples et regardé les informations : si un contrat a été rédigé, j’ai noté le nom du notaire, le lieu et la date.
    • J’ai ensuite vérifié si le notaire en question a bien déposé les documents aux archives. Le cercle généalogique du Haut-Berry a mis en ligne la liste par lieu, avec les noms et prénoms du notaire ainsi que la période concernée.
    Me voici avec une liste épurée, prête à me rendre aux archives !

     

    Voici à quoi ressemble cette fameuse liste

     

    Au final je me retrouve avec dix neuf unions. Pour six d’entre elles, il n’y a pas eut de contrat de mariage. Cela concerne particulièrement ma branche maternelle ; je fais l’hypothèse qu’il possédaient moins de terres.

     

    Sur les treize unions restantes, ce ne sont que sept actes qui sont a priori disponibles. Cela représente un tiers des unions où je peux espérer en apprendre plus sur les futurs époux.
    Il me semble que cela va bien m’occuper de les rechercher, et j’espère également trouver d’autres actes concernant la vie de mes ancêtres dans les liasses !
  • Berry,  Vu lu entendu

    Patrimoine du Sancerrois [site internet]

    Je viens ici faire la publicité d’une initiative du conseil général du Cher à saluer chaudement, le site intitulé Le patrimoine du Canton de Sancerre.
    Le service de l’Inventaire du patrimoine a mené une étude dans le canton de Sancerre en 2000, et un site a été créé en reprenant les informations sur la cartographie et bien entendu le patrimoine architectural et mobilier.
    Le site comprend :
    – Une présentation générale, avec notamment la méthodologie utilisée : comment ont été repérés, puis sélectionnés les monuments ?
    – Une présentation du canton : géographique, historique, bien entendu une page sur le célèbre vignoble ainsi qu’une bibliographie des ouvrages et sources utilisées.
    – Un accès par commune :

    * Avec une présentation géographique et historique. Il comprend de nombreuses cartes, dont une que j’affectionne particulièrement sur l’implantation des habitats y compris disparus. Une aubaine pour repérer les lieux-dits dans les actes.

    * Une analyse générale de l’habitat.

    * Un accès aux habitats repérés avec un accès cartographique, topographique ou thématique.

    Exemple de maison de vigneron à Verdigny sur google maps.

    Un bon moyen d’approcher la vie de nos ancêtres dans le canton !

  • Mes ancêtres

    Une photo et des regrets

    Voici une photo découverte il y a deux ans : celle du mariage de mes arrière-grands-parents. Je l’ai regardée avec émotion, notamment parce que j’ai pu y voir pour la première fois leurs parents, qui n’étaient pour le moi que des noms et des prénoms.


    J’avais pris plusieurs jours pour scanner des photos de mon grand-père, nous nous étions installés dans son bureau et en avons beaucoup trié. Sur celle-ci, mon grand-père m’a nommé presque toutes les personnes présentes, j’ai scanné la photo … mais pris aucune note !


    Ah le fameux carnet de notes à toujours avoir sur soi… Mon grand-père est malheureusement parti, et avec lui un grand nombre de ces souvenirs. Alors avant de tout oublier, voici ce dont je me souviens (c’est tellement peu que j’en ai mal au cœur de l’écrire).


    La photo d’origine



    Les quelques personnes dont je me souviens


    Le mariage a eut lieu le 8 janvier 1926 à Sury-en-Vaux (18). 
    Les époux avaient 22 ans, je trouve qu’ils en font plus !


    A vos photos pour le généathème d’octobre !
  • Considérations généalogiques

    Organisation : ce que je retiens du généathème

    Nous voici à la veille d’un nouveau thème du geneathème, l’occasion pour moi de faire un bilan des articles que j’ai lu.
     
    1. Le carnet noir (ou pas) a de beaux jours devant lui. Je crois bien qu’aucun généablogeur n’est passé à 100% sur du virtuel. Et au final je me rends compte qu’à faire mes recherches majoritairement sur internet, je ne garde pas assez de notes écrites, ce qui me ferait pourtant gagner beaucoup de temps …

     

    => Bonne résolution : ressortir mon carnet et ne plus m’en séparer !
    2. Un outil à tester : la ligne de vie par couple. Elise nous a proposé la ligne de vie par couple. La présentation me plait bien, sous réserve que l’on n’ait pas à recopier les informations deux fois. Je vais me chercher un couple sur lequel le tester !
    => Bonne résolution : choisir un couple et tester cet outil.
    3. Le cas Evernote. Après en avoir tellement entendu parlé, je me suis inscrite sur Evernote. Au final je l’utilise peu, simplement pour noter des idées d’articles pour le blog. Le rangement des articles ne me convient pas et je ne pense pas être le cœur de cible : si j’ai bien un ordinateur portable, je n’ai pas de tablette ni de smartphone, donc des besoins de « mobilité » bien moindres.
    4. Fichiers informatique, rien qui me satisfasse à 100%. Là où mon organisation pèche, c’est sur l’organisation de mes fichiers informatiques. Et en lisant les articles des uns et des autres je n’ai rien trouvé qui me satisfasse vraiment. Un dossier par individu me semble fastidieux. Mais mon classement par numéro sosa n’est pas non plus génial : bref je vais encore tâtonner un peu !
    => Bonne résolution : ranger les fichiers qui traînent et renommer les fichiers avec mon organisation actuelle.
    5. Sauvegardes : mon point noir. J’ai lu que de nombreux généalogistes ont une sauvegarde régulière de leurs données. De mon côté c’est quand j’y pense ! Je m’envoie mon fichier logiciel par mail, mes dossiers sur l’ordinateur ont eux été copiés il y a deux bons mois quand mon ordinateur a fumé (oui, oui) et que j’ai eut peur de tout perdre…
    => Bonne résolution :demander à mon mari informaticien comment automatiser mes sauvegardes (et oui je n’ai vraiment aucune excuse pour ne pas gérer au niveau informatique…



    Et vous, qu’en retenez vous ?

  • Mes ancêtres

    Mes vendanges

    Depuis ma plus tendre enfance, rentrée et automne riment avec vendanges. Une atmosphère particulière, faite d’excitation, de jus de raisin fraichement pressé, du bruit des pressoirs qui tournent.
    Le seau et le sécateur, le hoteu’ qui passe dans les rangs, la brume et le calme à l’arrivée au matin. Le soleil, la chaleur et les doigts qui collent à cause du sucre en fin d’après-midi.
    Ce sont ces vignes dont on connait les noms par cœur : les bouffants, pisse-au-pot, la belle oreille…
    Les repas animés avec les vendangeurs, et bien entendu la poelée qui marque la fin des vendanges.
     
     
    Un petit hommage à mon grand-père, ce seront les premières vendanges depuis son départ.
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    Actuellement, ce sont 154 de mes ancêtres dont je sais qu’ils ont été vignerons. Je me demande bien à quoi pouvait ressembler cette période de l’année dans les siècles qui nous ont précédé.

  • Considérations généalogiques,  Généathème

    Ma petite (des)organisation

    Le généathème de ce mois de septembre porte sur l’organisation de ses recherches généalogiques. Un exercice où je n’ai jamais excellé.
    Je ferai un petit parallèle avec la recherche scientifique. Avant de lancer une étude scientifique, il faut penser son protocole expérimental très en amont, y compris la manière dont seront exploités les résultats. Car magie des statistiques, les analyses dépendront du protocole expérimental. A vouloir aller trop vite, le risque est d’obtenir de nombreux résultats … difficilement exploitables (voire pas du tout).

    L’organisation c’est un peu la même chose : si on ne la réfléchit pas en amont, on perd du temps et on risque de devoir tout changer !

    • Tout d’abord le logiciel
    Pour bien travailler il faut un bon outil (ici le logiciel). Car la majorité des informations se trouvent à l’intérieur. Comme j’ai un peu de mal à noter sur un cahier mes différentes recherches, je les note en commentaire sur les fiches de mes ancêtres.
    • Mes fiches papier
    Je vais l’avouer tout de suite : tous mes ancêtres n’ont pas leur fiche papier. De reprendre mes ancêtre un par un (par n° SOSA) m’a permis de revérifier les informations dont je disposais et me rendre compte qu’il manquait ça et là un acte de naissance ou de décès.
    Ces fiches fonctionnent par couple.


    Au recto : Monsieur en haut, Madame en bas. Pour chacun leur commune d’origine en haut à gauche (ici V = Verdigny, SV = Sury-en-Vaux) et le n° de SOSA à droite. Pour chaque acte je reprends la date, le noms des parents, la profession, les témoins…


    Au verso, se trouvent les détails du mariage et dans la deuxième moitié de page les enfants. Je note ici aussi les mariages ne concernant pas directement ma généalogie.

     

    • Les dossiers sur mon ordinateur
    Dans mon dossier généalogie j’y trouve des sous-dossiers :
    – Actes : classés de la manière suivante : n° SOSA_Type d’acte_Nom. Au final pas terrible à cause des implexes. Mais difficile de tout changer !
    – Blog : calendrier du challenge A à Z, illustrations, recherches spécifiques…
    – Photos : mal triées (je n’ose même pas en parler)
    – Ressources : outils dont je peux avoir besoin, sous-dossiers sur les métiers, les villages de mes ancêtres
    Voilà un bref aperçu de ma petite (des)organisation.
    Et vous, comment vous organisez-vous ?
  • Histoire locale

    Profiter des journées du patrimoine avec de jeunes enfants [hors-sujet]

    Tous les ans des milliers de monuments peuvent être visités durant le week-end des journées du patrimoine. Avec des enfants en bas âge, pas facile ? Pour les enfants assez âgés, des activités peuvent être proposées, de quoi s’occuper utilement. Oui mais avec les plus jeunes ? Il suffit de bien choisir ses destinations et d’être un peu organisé en sachant que :
    la visite doit être courte au risque que les enfants s’énervent vite
    il faut pouvoir s’éclipser facilement si ils deviennent intenables.


    1. Je limite le temps de route
    On évite les destinations trop lointaines au risque de commencer la visite avec des enfants déjà grognons. Pour ma part, une demi-heure de route me semble le maximum.


    2. J’évite les lieux très prisés
    Qui dit lieu prisé, dit file d’attente : totalement inenvisageable. C’est le bon moment pour découvrir des lieux cachés, de petites pépites. Rien ne vous dit que la petite église qui semble bien banale ne renferme pas un trésor ? Et c’est sans compter sur l’enthousiasme des guides bénévoles.


    3. Je privilégie les visites libres ou guidées de courte durée
    Difficile de garder les enfants calmes longtemps. Alors on oublie les visites guidées de 2h en intérieur. Les visites libres permettent de gérer son temps comme on l’entend, ou bien choisir des visites de courte durée.


    4. J’aime les visites en extérieur
    En croisant les doigts pour que la météo soit clémente, les visites d’extérieurs permettent de s’éclipser facilement, et surtout les enfants peuvent plus facilement crier et courir (sous l’oeil toujours vigilant des parents bien entendu).


    5. Je ne suis pas trop gourmande
    Les programmes à rallonge, c’était bien avant mais maintenant on oublie ! Prévoir une liste avec une ou deux visites à faire impérativement, puis d’autres à adapter en fonction du temps dont on dispose et la forme des enfants.
    6. Je laisse la poussette à la maison
    Parce que la poussette ça roule mal dans le gravier et ce n’est pas pratique pour monter les marches. On peut toujours la laisser à l’entrée de la visite, mais c’est tout de même bien encombrant. Alors pour porter bébé c’est l’écharpe ou le porte bébé. En plus en étant proche des parents, les plus jeunes s’endorment facilement. Pour les plus grands, il faut compter sur les bras de papa lorsque les enfants ne voudront plus marcher.


    7. Je voyage léger … mais avec l’essentiel
    Je prévois dans la voiture de quoi changer bébé (deux couches, un peu de coton, une mini bouteille d’eau), un change, une bouteille d’eau et un goûter. On n’oublie pas non plus de quoi soigner les petits bobos : antiseptique et pansements si on tombe dans les allées d’un château.


    8. Je n’oublie pas mon appareil photo ni mon carnet
    Parce que le but c’est quand même bien de se cultiver et s’en mettre plein les yeux, je n’oublie pas mes outils essentiels : mon appareil photo et mon petit carnet. Et oui, on peut avoir la trentaine et faire de la résistance aux smartphones


    Moulin de Bouillant, 2013


    Bonnes visites !
  • Berry,  Généathème

    Villages de mes ancêtres, Sury-en-Vaux #1 le chemin de l’école

    A l’initiative de Sophie Boudarel, nous sommes invités à nous pencher sur les villages de nos ancêtres. Je ne peux malheureusement pas y retourner cet été, mais je prévois une série de quelques billets pour vous les faire connaître.
    Le village que je rencontre le plus souvent dans ma généalogie est Sury-en-Vaux, dans le Cher. Il y aurait bien des choses à raconter, aujourd’hui je vous ferai simplement découvrir le chemin d’école de mon grand-père. Habitant dans un hameau, il lui fallait parcourir près de 1,5 km aller sur un chemin bien  sympathique l’été, mais qui devait l’être beaucoup moins en plein hiver !
    Je vous propose des captures d’écran actuelles des endroits les plus bucoliques de ce chemin. Elles proviennent de Google Street View, et ils ont eut la bonne idée de prendre leurs clichés en fin d’été.
  • Généathème,  Mes ancêtres

    Perrette BEAUVOIS, 3 mariages, 2 dispenses

    J’ai rédigé la semaine précédente un article sur les dispenses de consanguinité. Voici une application pratique avec Perrette BEAUVOIS, ma sosa 1049. Mon aïeule s’est mariée trois fois et pour deux de ses mariages, une dispense de consanguinité aura été nécessaire.
    Son premier mariage a lieu le 14/2/1692 à Sury-en-Vaux avec François REVERDY .

    La dispense du 3ème degré de consanguinité nous apprends que François REVERDY est vigneron âgé de 24 ans tout comme Perrette BEAUVOIS.
    Parmi les témoins de l’enquête menée sont cités Denis VATAN vigneron de 60 ans oncle de François REVERDY, Léonard DELAPORTE 53 ans cousin germain de François. Deux autres témoins sont François GUENOU marguillier et Louis SOUCHET sergent au bailliage.
    Son second mariage a lieu le 10/9/1696 à Sury-en-Vaux avec René BLONDEAU, également veuf.

    Cette fois c’est une dispense de deux au troisième degré d’affinité : ce ne sont donc pas des cousins directs ; le futur époux était en fait marié à une cousine de Perrette. René BLONDEAU est tuilier, âgé de 32 ans, Perette BEAUVOIS est âgée de 29 ans.
    Parmi les témoins sont cités Denis VATAN vigneron 63 ans cousin issu de germain de Françoise DION, Louis SOUCHET « honnête personne », déjà témoin lors de la précédente dispense, sergent et Jean LAFOSSE « honnête personne ».
    Perrette se mariera une troisième fois le 17/01/1715 avec un certain Estienne BEAUVOIS. Malgré l’homonymie, il ne semble pas y avoir eut de dispense de consanguinité.
    Tentative de schématisation des liens entre Perrette et ses époux.

    Cet article est le deuxième du généathème sur le mariage et portait sur les dispenses de consanguinités. Dans le prochain vous découvrirez le mariage de Marie Joséphine BEUCHON, un mariage salutaire vu qu’il conduira à la reconnaissance de deux enfants …
  • Dans les archives,  Généathème,  Mes ancêtres

    Dispense de consanguinité, avoir le droit de se marier

    La dispense de consanguinité, qu’est-ce que c’est ?

    L’Eglise était jadis plus stricte qu’aujourd’hui : ainsi, on ne pouvait théoriquement pas se marier entre cousins (quatrième degré canonique), entre parents par alliance ou  bien entre affins (parenté spirituelle, par exemple une filleule et son parrain).

    La dispense de consanguinité est l’accord donné pour un mariage qui correspond à l’un des cas expliqué ci-dessus. Elle était accordée soit par un évêque ou bien par le pape lui-même pour les dispenses du deuxième degré. Moyennant finance tout de même…
    Un dossier de dispense complet comporte :

     

    – la « supplique » ou la demande du curé des futurs époux. En plus d’informations sur les époux, il comprend le degré d’empêchement ainsi qu’un tableau de cousinage menant à l’ancêtre commun : la généalogie avant l’heure ;
    – l’enquête comporte les témoignages des futurs époux, de deux témoins de la famille et de deux
    témoins pris en dehors de la famille ;
    – l’accord de l’évêque.

     

     

    Un petit rappel des degrés de consanguinité en droit canonique

     

    Des exemples dans mon arbre

     Une bonne partie de mes ancêtres provenant du même secteur, un mariage entre cousins pouvait se produire assez régulièrement. Un généalogiste amateur, Patrice Bizet, a réalisé un travail colossal en dépouillant les archives de consanguinité de Sury-en-Vaux et Verdigny entre 1649 et 1792. Cela m’a parfois permis de débloquer certaines situations.

    La dispense la plus ancienne concerne le couple Annet DEZAT et Jehanne PREDON, mes sosa 2048 et 2049.

    Ils ont obtenus une dispense de l’empêchement du trois au quatrième degré de consanguinité le 6 mai 1649. Ils ont obtenu une bulle de dispense de consanguinité du pape Innocent X le 9 février 1648. L’enquête a été réalisée le 30 mars 1649 par François POIRIER, curé de Sury-en-Vaux.  Les témoins étaient Simon GRANGIER, vigneron, Antoine CHERRIER, vigneron et François GIRARD laboureur, tous les trois résidant à Sury-en-Vaux.
    Une autre dispense en date du 2 janvier 1693  concerne  le couple Louis REVERDY et Anne NEPVEU mes sosa 1122 et 1123.

    Ce qui est intéressant, c’est que l’on peut en savoir un peu plus sur ces ancêtres, à une époque où l’on retrouve peu d’informations dans les registres paroissiaux. Ainsi on apprend que ce sont de pauvres habitants de la paroisse de Sury-en-Vaux. Pourtant le père de la mariée était notaire et procureur lors de son décès…

    Dans un prochain article je vous présenterai  le cas de Perrette BEAUVOIS, mariée deux fois avec deux dispenses bien différentes.

    Et vous, avez-vous déjà rencontré ces dispenses pour vos ancêtres ?