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Bilan généalogique 2014
En cette fin d’année, voici venu le temps des bilans. Voici quelques éléments parmi les plus marquants :
– Suite à la mise en ligne des archives du Cher, j’ai poursuivi la reprise de mon arbre pour compléter tout ce qui pouvait l’être : profession, témoins et surtout sources qui manquaient sérieusement aux évènements des mon arbre. Ma 8ème génération est en cours.
– J’ai à présent en ma possession toutes les fiches matricules de mes ancêtres et de ceux de mon mari. Elles me réservent encore de nombreuses heures de recherches.
– Le challenge A à Z, pour lequel j’ai écrit des articles durant le mois de juin. Si vous voulez savoir à quoi ressemble la vie d’un généalogiste amateur (qui a une vie de famille et un travail), vous pouvez lire les excellents articles de Marine et le témoignage de son mari.
– Des contacts avec des cousins … mais pas seulement ! Avec le centenaire 14-18, de nombreux internautes laissent des commentaires sur leurs aïeux qui faisaient partie des mêmes régiments, sont morts aux mêmes endroits.
Pour 2015, je vais me fixer des objectifs réalistes pour ne pas risquer d’être déçue : poursuivre mon travail pour étoffer mon arbre et renseigner les sources, rédiger au moins un article par mois et poursuivre l’indexation des poilus.
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Challenge A à Z : et la suite ?
Je n’ai pas spécialement envie de faire un bilan suite au challenge A à Z cette année, car je crois en avoir fait une overdose. Il me laisse un petit goût amer quand je vois le temps passé et que certains articles ne sont pas tels que je les avais imaginé…
Je préfère rebondir sur le commentaire de Sirius pour ma lettre Z (au passage je le remercie pour avoir commenté tous mes articles) : « Et, après Z, que nous réservera cette saga ? »
Je vais tout d’abord poursuivre mon travail généalogique :
- Reprendre ma 8ème génération comme je l’ai fait pour les précédentes : rechercher les actes en ligne et les sauvegarder, indiquer les sources dans mon logiciel, renseigner les témoins, et surtout tout bien revérifier. Cela fera certainement l’objet d’articles à la manière de mon bilan ancêtres pour la 7ème génération.
- Il devient ensuite très urgent que je me rende aux archives du Cher avec en ligne de mire la recherche de contrats de mariage et les registres matricule.
- La liste des recherches à effectuer se trouve dans l’onglet « Mes recherches ».
Après tant de temps passé à rédiger derrière mon ordinateur, j’ai envie de sortir ! J’ai notamment envie de me rendre aux archives d’Ille-et-Vilaine pour leur exposition « 14-18 : le Front, l’Arrière et la Mémoire », ou encore aller écouter une conférence à la Tour de Vesvre « Être seigneur en Berry de l’an 1000 à la fin des Croisades« .
Concernant les publications sur ce site, c’est un peu flou. J’ai l’impression d’avoir grillé beaucoup de cartouches sur un tout petit mois. J’attends l’inspiration, et je ne doute pas que les lectures chez les uns et les autres me donneront des idées.
» Vous pouvez maintenant reprendre une activité normale, bonsoir »
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[Bilan ancêtres] 7ème génération
Je viens de franchir une étape dans la vérification des informations relatives à mes ancêtres : la 7ème génération est terminée ! L’occasion de faire un petit bilan :
Je débute par le nombre d’ancêtres trouvés, comme l’ont fait certains généalogistes récemment. D’un côté le nombre d’ancêtres théoriques, et de l’autre le nombre d’ancêtres trouvés. Comme cela ne me convient pas complètement, j’ai également créé une colonne avec le nombre d’ancêtres potentiels (là, je joue sur les mots). La différence ? Je tiens ici compte des pères inconnus et autres implexes. Ainsi donc, si j’ai bien 64 individus théoriques à la septième génération, je n’en ai que 59 potentiels (l’explication va suivre). A la huitième génération, la différence entre individus théoriques et potentiels sera donc d’au moins dix individus. Point très positif : j’ai trouvé 100% des ancêtres potentiels à ce niveau !
A la 7ème génération, je trouve mon premier couple implexe : Jean Louis BLONDEAU et Thérèse NEVEU sont les parents de Louis, Marie et Rosalie BLONDEAU présents tous les trois dans l’ascendance de ma grand-mère maternelle !
Je trouve aussi mon premier père inconnu qui aurait du être mon Sosa 110, père de Valérie GODON.
Concernant la localisation, j’ai représenté les lieux de mes actes avec une couleur pour mes quatre branches, une branche correspondant à l’un de mes grand-parents.
Pour vous représenter l’échelle, ces points tiennent dans un carré faisant de 50 à 60 km de côté : quand je vous disais que mes ancêtres ne bougeaient pas beaucoup !
Ma branche DEZAT (vert foncé) et BLONDEAU (vert clair) se superposent presque et sont centrées autour de Sury-en-Vaux et Verdigny, dans le Sancerrois. Du côté de ma mère, mes ancêtres ont un peu plus voyagé : ma branche GUENEAU (violet) s’étend plutôt à l’ouest dans ce que l’on appelle le Pays Fort. Les deux points les plus au Nord correspondent à la naissance de deux ancêtres … nés de père inconnu, mais dont les mères sont bien originaires du berceau familial plus au Sud. Enfin, ma branche CHAMPION (rose clair) s’étend au Sud et à l’Est, pour partie dans le Sancerrois et dans le val de Loire. Avec cette branche nous commençons à gravir le piton de Sancerre …
Mais ces deux braches se retrouvent également … à Sury-en-Vaux ! Décidément, ce village est bien le berceau de ma famille.
C’est à cette génération qu’il se passe un grand évènement : je franchis les frontières du Cher pour la première fois et trouve un acte dans le Loiret. C’est la branche GUENEAU qui gagne cette fois-ci, mais il m’est avis qu’à la huitième génération la branche CHAMPION va se venger …
Enfin, je vais faire rigoler les généalogistes qui ont de vrais ancêtres voyageurs en vous montrant la répartition de mes ancêtres à l’échelle de la France !