N comme Numéro
Au début de sa généaologie, on travaille avec nos proches. Ils sont encore en vie, ou bien on les a connu. On regarde avec nostalgie des photos, on se remémore des souvenirs. Et puis on remonte dans son arbre, et très vite on rencontre des inconnus. Nos parents peuvent encore nous en parler, nous montrer quelques photos.
Et puis plus rien. Plus rien qu’un numéro, un code, un nom et un prénom. Au mieux une profession.
Alors mon travail c’est de fouiller plus loin que ces numéros pour redonner à mes ancêtres un semblant d’humanité…
Un commentaire
Sébastien
Je suis bien d’accord. Les registres paroissiaux ne sont qu’un départ pour donner une identité à ces numéros. Après, quelle bonheur de pouvoir retracer quelques moments de leur vie grâce à tous les autres documents comme les archives notariales, judiciaires, militaires…