Challenge

C comme Casanier

Casanier. Adjectif. Qui apprécie de rester chez soi, sédentaire.

Un adjectif qui convient bien à la grande majorité de mes ancêtres. Certains généalogistes ont des arbres qui les mènent aux quatre coins du monde, et bien les miens ont très peu bougé. Pas de marin, ni de batelier, non des ancêtres avec les pieds bien sur terre. Le point positif c’est que les recherches sont plus faciles. Par contre je ne vois pas beaucoup du pays !

En regardant le nombre d’utilisation (nombre d’actes par communes), je remarque qu’il y a cinquante communes différentes dans mon arbre.

Attention pour la suite de cet article, car les chiffres vont cacher plusieurs biais : tout d’abord car j’ai commencé ma généalogie dans certaines communes, donc bien représentées. Comme je me suis basée sur des dépouillements au début, seules les communes suffisamment bien dépouillées y étaient représentées.

Je vous parlais hier du Berry, et bien 99% des actes proviennent du Cher.
Une seule commune, Sury-en-Vaux, totalise 44% des utilisations. Si on ajoute Verdigny, ces deux communes en totalisent 58%.

Les six premières communes, toutes originaires du Sancerrois représentent les trois quarts des actes.

A être casanier, on se marie beaucoup entre cousins ! J’en ai déjà parlé quelque fois, et j’en reparlerai encore …

Carte issue de mon arbre hébergé par Geneanet

2 commentaires

  • Sébastien

    Intéressant ton analyse! De mon côté, je pensais également que mes ancêtres avaient très peu bougé (à part ma branche italienne)… sauf qu’un jour, quelle fut ma surprise de voir qu’au delà de 1700, certaines lignées trouvent leurs origines de ma Lorraine natale!
    La généalogie nous réserve toujours de bonnes surprises !
    A bientôt,
    Sébastien

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